Tess Holliday a relancé le débat sur l’utilisation du terme « taille plus ».
Holliday s’est tournée vers Twitter pour critique les mannequins qui posent pour des marques taille plus mais qui refusent l’appellation.
« Je trouve intéressant que les mannequins taille plus ne veulent pas se faire cataloguer comme telles, mais ne refusent pas de prendre un chèque d’une compagnie taille plus. »
« Il y a plein de mannequins qui sont fièrement taille plus et qui adoreraient être le visage de marques ou de compagnies. Pas de honte à être plus !»
Ce n’est pas la première fois que le mannequin se prononce sur la situation. « J’aime le terme taille plus. Je suis taille plus. C’est seulement un mot », a-t-elle indiqué en entrevue avec nos collègues du HuffPost britannique.
« En attendant qu’il y ait plus de diversité dans notre industrie – jusqu’à ce qu’on voit des corps différents et des couleurs de peau différentes – on ne devrait pas s’en faire avec le terme. C’est de l’énergie perdue. »
Ce n’est pas tout le monde qui est d’accord avec Holliday. « On ne devrait pas mettre d’étiquette sur les tailles, la mode est pour tous et je crois que la confiance et le bonheur sont plus importants qu’une étiquette », a indiqué la designer Jameela Jamil.
Plus tôt cette année le mannequin australien Stefania Ferrari avait lancé la campagne #droptheplus, dans le but de pousser les compagnies à abandonner le terme « taille plus ».
Le mannequin Ashley Graham s’est aussi exprimée dans ce sens, se disant mal à l’aise d’étiqueter les mannequins avec leurs tailles.
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Le mannequin Ashley Graham
« Les étiquettes n’ont pas raison d’être. Particulièrement quand on décrit une femme », a affirmé Graham.
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
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Holliday s’est tournée vers Twitter pour critique les mannequins qui posent pour des marques taille plus mais qui refusent l’appellation.
Find it interesting that Plus Size models don't want to be called "plus size" but don't mind taking a check from a PLUS SIZE company.
— Tess Holliday (@Tess_Holliday) October 26, 2015
« Je trouve intéressant que les mannequins taille plus ne veulent pas se faire cataloguer comme telles, mais ne refusent pas de prendre un chèque d’une compagnie taille plus. »
There are plenty of models that are visibly plus size & would happily be the face of a brand, or company. No shame with being PLUS.
— Tess Holliday (@Tess_Holliday) October 26, 2015
« Il y a plein de mannequins qui sont fièrement taille plus et qui adoreraient être le visage de marques ou de compagnies. Pas de honte à être plus !»
Ce n’est pas la première fois que le mannequin se prononce sur la situation. « J’aime le terme taille plus. Je suis taille plus. C’est seulement un mot », a-t-elle indiqué en entrevue avec nos collègues du HuffPost britannique.
« En attendant qu’il y ait plus de diversité dans notre industrie – jusqu’à ce qu’on voit des corps différents et des couleurs de peau différentes – on ne devrait pas s’en faire avec le terme. C’est de l’énergie perdue. »
Ce n’est pas tout le monde qui est d’accord avec Holliday. « On ne devrait pas mettre d’étiquette sur les tailles, la mode est pour tous et je crois que la confiance et le bonheur sont plus importants qu’une étiquette », a indiqué la designer Jameela Jamil.
Plus tôt cette année le mannequin australien Stefania Ferrari avait lancé la campagne #droptheplus, dans le but de pousser les compagnies à abandonner le terme « taille plus ».
Le mannequin Ashley Graham s’est aussi exprimée dans ce sens, se disant mal à l’aise d’étiqueter les mannequins avec leurs tailles.

« Les étiquettes n’ont pas raison d’être. Particulièrement quand on décrit une femme », a affirmé Graham.
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
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