Molly Sims se confie sur les mesures extrêmes qu'elle prenait à l'époque où elle était mannequin pour conserver une taille 0.
Dans une entrevue avec HuffPost Live, l'ancien mannequin de 42 ans révèle qu'elle a toujours eu de la difficulté avec la pression d'avoir un corps parfait, particulièrement quand venait le temps de se préparer pour les séances photo pour le Sports Illustrated.
« J'allais au ashram, je marchais 14 miles par jours, a-t-elle confié. C'était vraiment difficile de garder le poids que tu devais avoir. »
« Je suis bénie d'une certaine façon, mais c'était très difficile, des fois je ne mangeais rien pendant quelques jours. »
![molly sims runway]()
Molly Sims défile pour Victoria's Secret
La mère de trois enfants admet même avoir consulté un chirurgien plastique à 23 ans pour lui demander s'il y avait une façon de rendre ses mollets plus minces.
« Tu ne penses jamais que tu es belle dans le moment, mais quand tu vois la photo cinq ans plus tard, tu te dis “Wow, je suis belle”. Dans le temps, je pensais que j'étais tellement grosse, n'est-ce que pas fou? »
![molly sims runway]()
Molly Sims pour Victoria's Secret.
Aujourd'hui, elle fait beaucoup moins attention à son apparence et place sa famille en premier.
« D'autres choses sont devenues plus importantes, ce dont j'ai l'air n'a plus autant de poids, insiste-t-elle. Je ne suis pas consumée par le besoin d'être une taille 2. Qui est-ce que ça dérange si je suis une taille 6? »
« C'est le genre d'obsession dans laquelle on peut tomber, jamais sentir qu'on est assez bien, on le voit ces temps-ci sur les réseaux sociaux et avec les retouches. Mais nous apprenons tous que la beauté n'est pas une taille 2, ce n'est pas une taille 4, ce n'est pas une taille 12, c'est une question de comment on se sent. »
Bien dit.
Voyez la vidéo ci-dessous (en anglais) pour l'entrevue complète.
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Canada a été traduit de l’anglais.
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Dans une entrevue avec HuffPost Live, l'ancien mannequin de 42 ans révèle qu'elle a toujours eu de la difficulté avec la pression d'avoir un corps parfait, particulièrement quand venait le temps de se préparer pour les séances photo pour le Sports Illustrated.
« J'allais au ashram, je marchais 14 miles par jours, a-t-elle confié. C'était vraiment difficile de garder le poids que tu devais avoir. »
« Je suis bénie d'une certaine façon, mais c'était très difficile, des fois je ne mangeais rien pendant quelques jours. »

La mère de trois enfants admet même avoir consulté un chirurgien plastique à 23 ans pour lui demander s'il y avait une façon de rendre ses mollets plus minces.
« Tu ne penses jamais que tu es belle dans le moment, mais quand tu vois la photo cinq ans plus tard, tu te dis “Wow, je suis belle”. Dans le temps, je pensais que j'étais tellement grosse, n'est-ce que pas fou? »

Aujourd'hui, elle fait beaucoup moins attention à son apparence et place sa famille en premier.
« D'autres choses sont devenues plus importantes, ce dont j'ai l'air n'a plus autant de poids, insiste-t-elle. Je ne suis pas consumée par le besoin d'être une taille 2. Qui est-ce que ça dérange si je suis une taille 6? »
« C'est le genre d'obsession dans laquelle on peut tomber, jamais sentir qu'on est assez bien, on le voit ces temps-ci sur les réseaux sociaux et avec les retouches. Mais nous apprenons tous que la beauté n'est pas une taille 2, ce n'est pas une taille 4, ce n'est pas une taille 12, c'est une question de comment on se sent. »
Bien dit.
Voyez la vidéo ci-dessous (en anglais) pour l'entrevue complète.
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Canada a été traduit de l’anglais.
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