Kate Beckinsale se confie sur la critique de son apparence faite par le réalisateur Michael Bay pendant le tournage de « Pearl Harbor » en 2001.
Dans l’épisode du 27 mai du « Graham Norton Show », l’actrice de 42 ans révèle qu’elle ne « collait pas au type d’actrice » que le réalisateur de 51 ans avait rencontré par le passé.
![kate beckinsale]()
« Je crois qu’il était désorienté par moi, parce que mes seins n’étaient pas plus gros que ma tête et que je n’étais pas blonde », a-t-elle soutenu.
« Je venais d’avoir ma fille et j’avais perdu du poids, mais on m’a dit que si j’avais le rôle, je devrais m’entraîner. Et je ne comprenais tout simplement pas pourquoi une infirmière des années 1940 ferait ça », a-t-elle poursuivi.
Et les insultes ne se sont pas arrêtées là. Selon Kate, elles ont continué tout au long de la tournée de promotion du film.
![kate beckinsale michael bay]()
Josh Hartnett, Kate Beckinsale, Jerry Bruckheimer et Michael Bay en tournée de promotion pour « Pearl Harbor » à Paris, en juin 2001.
« Et ensuite, quand on a commencé à promouvoir le film, Michael se faisait demander pourquoi il avait choisi Ben et Josh et il disait "J’ai travaillé avec Ben par le passé et je l’aime et Josh est tellement viril et un merveilleux acteur". Quand on lui parlait de moi, il répondait "Kate n’est pas assez attirante pour aliéner l’auditoire féminin". »
« Il continuait à dire cela partout où on allait et on allait à beaucoup d’endroits. »
![michael bay]()
Le producteur Michael Bay.
Beckinsale n’est la première actrice à parler contre le producteur. En 2009, Megan Fox a comparé le cinéaste à Hitler dans une entrevue avec Wonderland UK.
« Il est comme Napoléon et veut créer cette réputation de personne complètement folle. Il veut être comme Hitler sur ses plateaux et il l’est, a-t-elle dit au magazine. Il est un cauchemar comme collègue, mais quand il n’est pas en mode réalisateur, j’aime bien sa personnalité, il est très gêné. Il n’a pas de talent avec les gens. »
Fox a plus tard qualifié Bay d’« aimable et d’adorable » dans une entrevue avec Entertainment Weekly en 2014.
VOIR AUSSI:
Ce billet initialement publié sur le Huffington Post Canada a été traduit de l’anglais.
Dans l’épisode du 27 mai du « Graham Norton Show », l’actrice de 42 ans révèle qu’elle ne « collait pas au type d’actrice » que le réalisateur de 51 ans avait rencontré par le passé.
« Je crois qu’il était désorienté par moi, parce que mes seins n’étaient pas plus gros que ma tête et que je n’étais pas blonde », a-t-elle soutenu.
« Je venais d’avoir ma fille et j’avais perdu du poids, mais on m’a dit que si j’avais le rôle, je devrais m’entraîner. Et je ne comprenais tout simplement pas pourquoi une infirmière des années 1940 ferait ça », a-t-elle poursuivi.
Et les insultes ne se sont pas arrêtées là. Selon Kate, elles ont continué tout au long de la tournée de promotion du film.
Josh Hartnett, Kate Beckinsale, Jerry Bruckheimer et Michael Bay en tournée de promotion pour « Pearl Harbor » à Paris, en juin 2001.
« Et ensuite, quand on a commencé à promouvoir le film, Michael se faisait demander pourquoi il avait choisi Ben et Josh et il disait "J’ai travaillé avec Ben par le passé et je l’aime et Josh est tellement viril et un merveilleux acteur". Quand on lui parlait de moi, il répondait "Kate n’est pas assez attirante pour aliéner l’auditoire féminin". »
« Il continuait à dire cela partout où on allait et on allait à beaucoup d’endroits. »
Le producteur Michael Bay.
Beckinsale n’est la première actrice à parler contre le producteur. En 2009, Megan Fox a comparé le cinéaste à Hitler dans une entrevue avec Wonderland UK.
« Il est comme Napoléon et veut créer cette réputation de personne complètement folle. Il veut être comme Hitler sur ses plateaux et il l’est, a-t-elle dit au magazine. Il est un cauchemar comme collègue, mais quand il n’est pas en mode réalisateur, j’aime bien sa personnalité, il est très gêné. Il n’a pas de talent avec les gens. »
Fox a plus tard qualifié Bay d’« aimable et d’adorable » dans une entrevue avec Entertainment Weekly en 2014.
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Ce billet initialement publié sur le Huffington Post Canada a été traduit de l’anglais.