Princesses, la série qui a débuté le 7 juin sur les ondes de APTN (13 épisodes en anglais de 30 minutes), a pour sujet la beauté autochtone - réalisée par Angie-Pepper O'Bomsawin et produite par la société de productions télévisuelles autochtones Cayenne (Orlando Arriagada).
La série nous plonge au coeur d'une réflexion passionnante sur les standards et la perception de la beauté à travers les témoignages de femmes vivant dans différentes communautés autochtones. Il est également question de traditions, de concours de beauté, de mode, entre autres. Autant de sujets qui nous emmènent loin de notre réalité qui fait l'apologie du paraître égocentré et du cliché de Pocahontas.
Comment est née la série?
«L'idée nous en venue alors que l'un des producteurs travaillait sur un autre documentaire dont le sujet était le phénomène des Miss. Quelques semaines plus tard, nos deux producteurs Luc Lainé and Orlando Arriagada ont commencé à se pencher sur la notion de beauté au coeur des Premières Nations. En approfondissant le sujet, on s'est dit que ce serait une bonne thématique de documentaire. »
Quelle est la perception de la beauté pour les différents groupes de femmes?
«Au coeur de nos communautés, la beauté n'a rien à voir avec le physique. La beauté est synonyme d'honorabilité, de connaissance de culture, de courage, de travail, d'actions bénéfiques envers la communauté, de valeurs fortes. Être beau, c'est aussi être par exemple un bon professeur, qui se bat pour les droits et la protection de notre communauté, de nos enfants, de nos hommes, de nos vies. La vanité n’y a aucune place tout comme l'apparence et le paraître. »
Quel est un sentiment que vous aimeriez partager?
«Les femmes de cette série sont fortes et puissantes et chacune d'entre elles est un exemple qui démontre comment elles peuvent aller loin. Pour mieux comprendre, cliquez: ici»
À VOIR
La série nous plonge au coeur d'une réflexion passionnante sur les standards et la perception de la beauté à travers les témoignages de femmes vivant dans différentes communautés autochtones. Il est également question de traditions, de concours de beauté, de mode, entre autres. Autant de sujets qui nous emmènent loin de notre réalité qui fait l'apologie du paraître égocentré et du cliché de Pocahontas.
Comment est née la série?
«L'idée nous en venue alors que l'un des producteurs travaillait sur un autre documentaire dont le sujet était le phénomène des Miss. Quelques semaines plus tard, nos deux producteurs Luc Lainé and Orlando Arriagada ont commencé à se pencher sur la notion de beauté au coeur des Premières Nations. En approfondissant le sujet, on s'est dit que ce serait une bonne thématique de documentaire. »
Quelle est la perception de la beauté pour les différents groupes de femmes?
«Au coeur de nos communautés, la beauté n'a rien à voir avec le physique. La beauté est synonyme d'honorabilité, de connaissance de culture, de courage, de travail, d'actions bénéfiques envers la communauté, de valeurs fortes. Être beau, c'est aussi être par exemple un bon professeur, qui se bat pour les droits et la protection de notre communauté, de nos enfants, de nos hommes, de nos vies. La vanité n’y a aucune place tout comme l'apparence et le paraître. »
Quel est un sentiment que vous aimeriez partager?
«Les femmes de cette série sont fortes et puissantes et chacune d'entre elles est un exemple qui démontre comment elles peuvent aller loin. Pour mieux comprendre, cliquez: ici»
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