Voici la « Pussy Purse », soit la « pochette chatte », le sac à main au message social.
Sur le site DAMNsel, la designer Rachel Feinberg explique comment une rencontre avec le « manspreading », cette manie masculine de s’écarter les jambes à outrance une fois assis, l’a inspirée à créer ces sacs originaux.
Un matin, alors qu’elle prenait le métro, Feinberg s’est assise avec les jambes croisées, ses sacs empilés sur ses jambes.
Elle a alors sorti le livre qu’elle était en train de lire « Politics of Reality: Oppression by Marilyn Frye » et a été frappée par une des lignes.
« Considérez, en comparaison, la discipline des postures comprimées des femmes et leur démarche atténuée. »
Quand Feinberg a regardé dans le wagon, elle s’est rendu compte que toutes les femmes, elle inclut, portaient leurs sacs sur elles, les jambes croisées, alors que la majorité des hommes avaient les jambes étirées dans toutes les directions.
« Nous avons été éduquées à ne pas être aussi inconscientes que les hommes », a confié Feinberg à Refinery29.
« Nous n’avons pas ce luxe et je ne comprends pas pourquoi. »
« Est-ce que les parties du corps féminin sont plus offensantes? Plus qu’un pénis? Ça ne fait pas de sens pour moi. »
Elle a ajouté que le processus derrière les pochettes DAMNsel était de permettre aux femmes de « s’asseoir les jambes croisées, rester conservatrice et classe, si c’était leur choix, mais si une pochette DAMNsel se retrouve sur leurs cuisses, ça rappelle au monde que nous sommes toujours en train de nous battre pour le changement et que les femmes devraient avoir l’opportunité d’être aussi ouvertes que les hommes. »
Les sacs de Feinberg ont trouvé preneur chez les vedettes, comptant parmi ses fans Beyoncé, Andreja Pejic, notamment.
Les sacs DAMNsel...
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
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Sur le site DAMNsel, la designer Rachel Feinberg explique comment une rencontre avec le « manspreading », cette manie masculine de s’écarter les jambes à outrance une fois assis, l’a inspirée à créer ces sacs originaux.
Un matin, alors qu’elle prenait le métro, Feinberg s’est assise avec les jambes croisées, ses sacs empilés sur ses jambes.
Elle a alors sorti le livre qu’elle était en train de lire « Politics of Reality: Oppression by Marilyn Frye » et a été frappée par une des lignes.
« Considérez, en comparaison, la discipline des postures comprimées des femmes et leur démarche atténuée. »
Quand Feinberg a regardé dans le wagon, elle s’est rendu compte que toutes les femmes, elle inclut, portaient leurs sacs sur elles, les jambes croisées, alors que la majorité des hommes avaient les jambes étirées dans toutes les directions.
« Nous avons été éduquées à ne pas être aussi inconscientes que les hommes », a confié Feinberg à Refinery29.
« Nous n’avons pas ce luxe et je ne comprends pas pourquoi. »
« Est-ce que les parties du corps féminin sont plus offensantes? Plus qu’un pénis? Ça ne fait pas de sens pour moi. »
Elle a ajouté que le processus derrière les pochettes DAMNsel était de permettre aux femmes de « s’asseoir les jambes croisées, rester conservatrice et classe, si c’était leur choix, mais si une pochette DAMNsel se retrouve sur leurs cuisses, ça rappelle au monde que nous sommes toujours en train de nous battre pour le changement et que les femmes devraient avoir l’opportunité d’être aussi ouvertes que les hommes. »
Les sacs de Feinberg ont trouvé preneur chez les vedettes, comptant parmi ses fans Beyoncé, Andreja Pejic, notamment.
Les sacs DAMNsel...
Cet article initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
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