Dans les coulisses du défilé Charlotte Olympia printemps-été 2017, les mannequins avaient un look de showgirls d’une autre époque.
Mais c’est la nature qui a pris le dessus au défilé même le 18 septembre dernier.
Ce n’est pas la première fois que les fruits inspirent les collections d’Olympia. Ses sacs banane avaient été un best-seller de sa ligne printemps-été 2011, inspirée par Carmen Miranda.
Olympia a par le passé affirmé à Vogue qu’en plus de Miranda, Josephine Baker est une autre de ses « pin-up favorites » et son plus récent défilé était un hommage fruité à Baker.
Baker a accédé à la célébrité en 1926 quand elle est apparue dans la comédie musicale « La revue nègre », à Paris, dans une robe faite de bananes en caoutchouc. Baker jouait sur les stéréotypes racistes que plusieurs de ses spectateurs blancs avaient et réclamait son image avec audace.
Dans une rétrospective écrite par Vogue sur la carrière de Baker, Morgan Jerkins écrit : « croisant ses yeux, faisant aller ses bras, roulant des hanches, ressortant son derrière, elle était clownesque et séduisante en renversant les stéréotypes. En réclamant son image, elle a avancé d’une façon sans précédent pour une femme à son époque ».
Ce billet initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
Mais c’est la nature qui a pris le dessus au défilé même le 18 septembre dernier.
Ce n’est pas la première fois que les fruits inspirent les collections d’Olympia. Ses sacs banane avaient été un best-seller de sa ligne printemps-été 2011, inspirée par Carmen Miranda.
Olympia a par le passé affirmé à Vogue qu’en plus de Miranda, Josephine Baker est une autre de ses « pin-up favorites » et son plus récent défilé était un hommage fruité à Baker.
Baker a accédé à la célébrité en 1926 quand elle est apparue dans la comédie musicale « La revue nègre », à Paris, dans une robe faite de bananes en caoutchouc. Baker jouait sur les stéréotypes racistes que plusieurs de ses spectateurs blancs avaient et réclamait son image avec audace.
Dans une rétrospective écrite par Vogue sur la carrière de Baker, Morgan Jerkins écrit : « croisant ses yeux, faisant aller ses bras, roulant des hanches, ressortant son derrière, elle était clownesque et séduisante en renversant les stéréotypes. En réclamant son image, elle a avancé d’une façon sans précédent pour une femme à son époque ».
Ce billet initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.