Des cours de couture en prison aux podiums!
18 terrasses où boire de délicieux cocktails à Montréal
Le printemps est enfin arrivé et qui dit beau temps, dit terrasse! Voici donc 18 adresses montréalaises où profiter des belles journées ensoleillées devant un délicieux cocktail.
La terrasse de 60 place de ce nouveau bar de quartier permet de faire la fête jusqu'au petit matin et de boire pour pas cher. Psssit! Les jeudis, tu peux même apporter ton chien pour le « Yappy Hour ». 5020, rue St-Ambroise.
Le Perché offre la plus belle vue sur la Place Jacques-Cartier, qui se veut fort animée durant l'été. On y va pour l'ambiance, le décor chic, le menu frais et les délicieux cocktails. 153, rue Sy-Amable (4e étage).
Cette terrasse couverte permet d'en profiter, beau temps, mauvais temps! On craque pour leurs cocktails tout sauf classiques. 1184, Place Philips.
Seule une poignée de gens peuvent y accéder chaque jour, mais si vous faites partie des chanceux, vous allez y passer une soirée inoubliable, c'est promis! 1844, rue Amherst.
Au 8e étage de l'Hôtel Place d'Armes se trouve une magnifique terrasse animée, qui offre une vue à couper le souffle sur le Vieux-Montréal. Psssit! Les mojitos sont la spécialité de l'endroit. 59, rue St-Jacques (8e étage).
Vous allez être charmé par la petite terrasse intime du Bar Palco, qui sert les meilleurs cocktails de tout Verdun, grâce au talent et à l'imagination débordante de son mixologue maison : Tony Thémiot. 4019, rue Wellington.
Pour un cocktail classique ou un bon verre de bulles, on se donne rendez-vous sur la terrasse chaleureuse et verdoyante du Richmond. D'ailleurs, le toit rétractable vous permettra de profiter de cette cour intérieure... même si la pluie s'invite sans préavis. 377, rue Richmond.
Les amateurs de saké, de bières et de cocktails excentriques seront servis au Biiru, cette taverne japonaise qui ne fait les choses comme nulle part ailleurs. Dépaysement garanti! 1433, rue City Concillors.
Il s'agit sans contredit du meilleur endroit pour regarder l'International des Feux Loto-Québec, les mercredis et samedis soirs d'été, un bon cocktail à la main! 97, rue de la Commune Est.
En raison de son emplacement idéal, les festivaliers se donnent tous rendez-vous au Blumenthal, avant ou après un concert, afin de casser la croûte ou tout simplement de siroter un délicieux cocktail... au cœur de l'action! 305, rue Ste-Catherine Est.
Avec une sélection de cocktails maison qui saura plaire à tous les palais et une jolie petite terrasse chauffée derrière l'établissement, définitivement, Madame Smith est l'adresse à retenir dans Hochelaga-Maisonneuve! 4061, rue Ontario Est.
On choisit le Kampaï Garden pour nos soirées mouvementées, puisque la terrasse est située directement sur la rue Ste-Catherine et offre une ambiance électrisante. On craque pour les pichets de cocktails vraiment originaux! 1616, rue Ste-Catherine Ouest.
Les Enfants Terribles (au sommet de la PVM)
Invitez vos amis au sommet... pour leur en mettre plein la vue! Sur cette terrasse impressionnante, vous pourrez profiter d'un bon cocktail concocté par l'équipe des Enfants Terribles et jouir d'une vue imprenable sur Montréal. 1, Place Ville-Marie.
L'une des terrasses les plus populaires de la rue Ontario a de quoi vous nourrir et vous désaltérer, dans un décor chaleureux et boisé. Bref, la combinaison parfaite! 1603, rue Ontario est.
Surplombant la Place des Festivals, la terrasse du Six Resto Lounge est l'endroit rêvé pour profiter des festivités estivales de Montréal, et ce, sans être immergé dans la foule. 1255, rue Jeanne-Mance.
Terrasse AiR (sur le toit de l'hôtel Renaissance)
Offrant une vue unique sur la métropole, la Terrasse Air est l'endroit idéal pour se donner rendez-vous après le bureau et le week-end. Psssit! Il y a même une petite piscine pour se rafraîchir et des chaises longues pour prendre un bain de soleil. 1250, boul. Robert-Bourassa.
L'adresse incontournable à Montréal pour les après-midis ensoleillés, les 5 à 7 improvisés ou les fins de soirée... mouvementées! Bref, optez pour un pichet de sangria et profitez pleinement du moment. 364, rue de la Commune Est.
Cette adresse mythique du Village ne déçoit jamais! Et nul besoin de faire partie de la communauté LGBTQ pour en profiter... 1478, rue Ste-Catherine Est.
À VOIR AUSSI
Jessica Biel dit que le yoga l'aide à être une meilleure mère
16 magnifiques Airbnb où se marier
Un mariage, c'est souvent charmant et divertissant, mais toujours cher. Selon un sondage réalisé par Mariage Québec, les Québécois dépenseraient en moyenne 17 000$ pour leur réception. Et la salle fait partie des éléments qui coûtent le plus cher.
Il y a bien sûr plusieurs façons d'épargner, mais l'une des solutions faciles est de louer un Airbnb pour la cérémonie et la réception. De cette manière, les couples réservent l'emplacement, l'hébergement et les meubles de réception en un clic.
Inspirez-vous de ces 16 splendides Airbnb autour du monde idéaux pour recevoir toute la parenté pour la noce :
1. Grange de mariage à Hudson Valley - à partir de 1060$/nuit
2. Château en Toscane - à partir de 1608$/nuit
3. Jardin à Los Angeles - à partir de 2383$/nuit
4. Un monastère en campagne anglaise - à partir de 1107$/nuit
5. Glamping vintage au Texas - à partir de 860$/nuit
6. Une villa de luxe sur le bord de l'eau à Bali - à partir de 320$/nuit
7. Villa d'époque près de Florence - à partir de 1127$/nuit
8. Chalet rustique dans nord-ouest américain - à partir de 1190$/nuit
9. Ranch dans les montagnes du Colorado - à partir de 1060$/nuit
10. Villa dans les îles grecques - à partir de 804$/nuit
11. Maison de luxe à Hawaï - à partir de 3032$/nuit
12. Villa en Toscane - à partir de 579$/nuit
13. Manoir dans l'état de New York - à partir de 1191$/nuit
14. Manoir historique à Hollywood - à partir de 1311$/nuit
15. Hôtel de luxe avec spa au à Marrakech - à partir de 89$/nuit (pour une chambre)
16. Maison de campagne en Espagne - à partir de 708$/nuit
VOIR AUSSI :
Ce texte initialement publié sur le HuffPost américain a été adapté de l'anglais.
Des couples s'ouvrent sur leurs vies sans sexe
Les mariages sans sexe s'accompagnent souvent d'un sentiment de honte et de nombreux non-dits, mais plusieurs couples de longue date vont dans les faits passer à travers une période au cours de laquelle ils sont moins actifs sexuellement à un moment donné de leur relation.
Shannon Chavez, une psychologue et sexologue de Bervely Hills, a déclaré au HuffPost qu'il arrivait «plus souvent qu'autrement» que des couples connaissent une période d'abstinence.
«Les couples parlent rarement de ces changements », souligne-t-elle. «Nous devons être ouverts à propos des évolutions du désir sexuel afin de les normaliser et que les périodes de disettes sexuelles ne soient plus taboues.»
Plusieurs facteurs peuvent affecter la libido d'une personne: le stress, certains médicaments, le fait d'avoir des enfants et les ennuis de santé, par exemple. Il existe également des couples dans lesquels les deux partenaires sont tout à fait heureux, malgré une activité sexuelle limitée ou inexistante. Mais pour les personnes qui valorisent l'intimité physique, le sentiment de rejet et de solitude qui accompagne souvent une relation sans sexe peut être douloureux.
«Ne pas avoir de relations sexuelles peut être pénible, vous faire sentir déconnecté de votre partenaire et en manque d'affection», a déclaré Chavez au HuffPost. «Le sexe est important pour la santé et le bien-être.»
«Nous devons être ouverts à propos des évolutions du désir sexuel afin de les normaliser et que les périodes de disettes sexuelles ne soient plus taboues.» Shannon Chavez, psychologue et sexologue
Nous avons demandé à des couples qui ont vécu des périodes sans sexe de s'ouvrir sur ce qui avait causé cette déconnexion, sur la façon dont ils avaient vécu cette période et sur comment ils avaient réglé ce problème. Voici ce qu'ils avaient à dire.
Note: Les réponses ont été légèrement adaptées et condensées à des fins de clarté. Les noms de famille de certaines personnes ont été retirés afin de protéger leur vie privée.
Neil, 47 ans, marié durant 15 ans
C'est après une grossesse difficile qui a nécessité une césarienne que notre vie sexuelle a piqué du nez. Notre bébé faisait beaucoup de coliques, ma femme ne se sentait pas sexy, nous étions tous les deux épuisés puisque nous travaillions à temps plein. Le sexe était la dernière chose qui lui traversait l'esprit. Mais j'y pensais quand même.
Nous avons ignoré trop longtemps cette situation en évitant d'en parler. Il m'arrivait d'essayer d'initier des relations sexuelles, mais sans succès. Je lui reprochais notre manque d'activité sexuelle. Je l'ignorais quand je me sentais ignoré. Lorsque nous nous prévoyions des soirées en amoureux, la pression de performer l'anéantissait. La situation a ainsi continué pendant plusieurs années. Lorsque nous essayions d'en parler, elle ne disait pas grand chose ou bien se taisait. Elle admettait qu'il y avait un manque d'intimité dans notre couple et qu'elle en était probablement la raison. Elle a consulté son docteur, pensant qu'il y avait peut-être une explication physique.
La situation demeura inchangée et continua quelques années. Une nuit, alors que je m'essayais une fois de plus, en vain, je décidai que j'en avais assez. Je lui ai dit que je ne pouvais plus dormir dans le même lit que quelqu'un qui me rejetait et nous nous sommes une fois de plus disputés. Nous avons essayé de régler notre problème, mais ça n'a pas fonctionné.
Une amie de ma femme mariée depuis quelques années nous a suggéré d'essayer de planifier nos relations sexuelles. Lorsqu'elle m'a proposé cette solution, j'ai refusé. Il n'y avait rien de sensuel à cette proposition; les relations sexuelles se doivent d'être spontanées. Mais le problème était que rien n'arrivait. À contrecœur, j'ai donc décidé d'essayer. Nous avons choisi une nuit.Les choses se sont déroulées différemment cette soirée. Ma femme semblait être en forme et de bonne humeur. Cela a piqué ma curiosité et nous avons eu une soirée agréable. Nous avons couché les enfants et nous sommes allés dans notre chambre. Il y avait une certaine anticipation.
Nous nous sommes embrassés, avons commencé à parler, puis ça a commencé à devenir plus physique. C'était le genre de sexe auquel je m'attendais et nous avons tous les deux particulièrement apprécié. Après coup, nous avons discuté d'à quel point ce moment avait été agréable et avons convenu que nous devrions planifier d'autres séances du genre. Le soir suivant, nous nous sommes essayés à nouveau, mais avons été interrompus par notre enfant. Le moment était passé. Je commençai à devenir frustré. C'était généralement le moment où elle revenait, se retournait et que nous commencions à nous ignorer mutuellement.
Mais cette fois, alors qu'elle revenait, elle me dit: «Je voulais vraiment essayer ce soir et j'en avais envie avant d'être interrompue. Ça m'ennuie, mais maintenant, je suis fatiguée. On pourrait réessayer demain? Ou cette fin de semaine?»
C'était exactement ce que j'avais besoin d'entendre. Nous nous sommes enlacés et, quelques jours plus tard, elle a tenu parole. Nous avons convenu qu'il s'agissait d'un bon départ. Nous appréciions vraiment la façon dont nous communiquions. Pendant plusieurs semaines, nous avons établi une bonne routine. Un soir, elle décida qu'elle n'en avait pas vraiment envie. J'étais prêt, mais elle ne l'était pas. Habituellement, une situation du genre m'aurait causé de la frustration, mais nous étions maintenant aptes à communiquer. J'avais deux choix: accepter qu'elle n'en ait pas envie, ou continuer à lui mettre de la pression, ce qui aurait eu pour conséquence... du mauvais sexe. Elle n'en aurait pas envie. J'ai décidé de juste la câliner afin de lui montrer que je pouvais accepter son refus, mais je lui ai rappelé que j'avais encore envie d'elle. «Je sais, je serai prête dans quelques jours. J'en ai envie. Mais pas ce soir», m'a-t-elle répondu. C'était la meilleure chose qu'elle pouvait me dire à ce moment précis. Elle ne me rejetait pas. Elle me demandait seulement d'attendre. J'avais appris qu'attendre qu'elle soit prête menait généralement à du sexe de meilleure qualité.
Pendant des mois, nous avons continué cette méthode. Elle nous empêchait de nous disputer. Je réalisais que je m'y habituais et qu'elle avait retrouvé le désir. L'anticipation est parfois palpable, des fois forcée. Il nous est arrivé à tous deux d'annuler des séances pour une raison ou une autre, mais toute cette histoire a transformé notre perception du sexe. -Neil
Susan, 56, mariée depuis 25 ans
Comme on m'a inculqué dès mon plus jeune âge des valeurs féministes, j'ai de la difficulté à admettre, et encore plus à accepter, qu'un homme s'occupe de moi. C'est un peu paradoxal puisque c'est mon mari qui gère les finances familiales. Nous étions mariés depuis 11 ans lorsque, au beau milieu d'une crise financière de trois ans, je lui ai dis que je n'étais pas sûre de pouvoir rester avec lui. Je voulais que mon mari soit financièrement solide afin d'avoir l'esprit en paix.
Tim souffrait déjà du fait que notre vie sexuelle était quasi-inexistante. Le sexe m'ennuyait. De temps à autres, je couchais avec lui parce que j'avais pitié, ce qui le faisait sentir encore plus mal. Sa motivation de prendre soin de moi était à son plus bas. Nous sentions tous deux que nous étions dans une impasse.
Nous étions sur le point de divorcer lorsque nous avons réalisé qu'il était hors de question de briser notre famille. Je me suis engagée à faire revivre notre vie sexuelle et il s'est engagé à s'investir davantage émotionnellement. J'avais cependant encore des réserves à propos de notre santé financière. Je lui ai fait savoir que j'avais besoin d'être certaine qu'il soit capable de prendre soin de moi financièrement.
Quelques années plus tard, comme plusieurs autres personnes, nous avons vécu un désastre financier. À travers cette sombre période, j'ai réalisé que j'avais maintenant pleinement confiance en la capacité de Tim à gérer nos finances. Il avait fallu que nous touchions le fond pour que je réalise que si quelqu'un pouvait nous mettre sur la bonne voie financièrement, c'était mon époux adoré, avec moi à ses côtés. J'ai réalisé qu'être un couple signifiait être une équipe et de se compléter avec nos forces et nos faiblesses respectives. J'ai cessé de le laisser tout faire et j'ai commencé à faire ma part afin que notre couple fonctionne. -Susan Bratton, auteure de Relationship Magic
Mark, 27 ans, en couple depuis 8 ans
Ma partenaire et moi avons des problèmes depuis 2013, soit six mois après que j'ai quitté l'armée. Nous sommes passés de relations sexuelles quotidiennes à une fois tous les huit mois. Après cette période d'abstinence de huit mois, nous avions des relations une ou deux fois par saison. Les trois dernières années ont été particulièrement difficiles pour nous, alors que nous avons tous deux recommencé l'école.
Avant d'aller plus loin, je dois préciser que ce n'était pas seulement sa faute. Comme tous les couples, nous nous disputions parfois et certaines choses stupides que j'ai commises au début de notre relation lui causent encore de la souffrance. J'ai remarqué que nous nous laissions de plus en plus aller, que nous ne semblions plus apprécier nos compagnies respectives et que nous commencions à éprouver du ressentiment. J'ai commencé à avoir de la difficulté à identifier ses besoins, ce qui a affecté ma confiance en moi. J'éprouvais de la frustration et cela a commencé à affecter mes sentiments pour elle.
Nous avons essayé d'en parler et tranquillement, au fil des années, nous avons découvert ce qui se cachait derrière notre manque de vie sexuelle. Cela ne lui plaisait plus; ça lui faisait mal pendant et après, ça lui semblait être une corvée, elle n'était jamais vraiment en humeur (en raison de sa pilule contraceptive) et elle était épuisée et stressée en raison de ses études. Elle a admis qu'il lui était arrivé d'avoir des orgasmes durant nos rapports, mais que ça n'en valait pas vraiment la peine selon elle.
À ce moment, ma confiance en moi et mon ego étaient à leur plus bas. Pendant longtemps, j'ai cru que je n'étais pas tout à fait un homme parce que je n'arrivais pas à rendre nos relations sexuelles agréables pour elle. J'ai commencé à penser que je ne l'attirais plus physiquement ou bien qu'elle me trompait. Après des années de rejet, j'ai commencé à la voir autrement que comme une partenaire sexuelle: elle est devenue une amie. J'ai arrêté d'essayer et de m'en préoccuper. Je l'aimais trop pour rompre, mais je ne savais pas non plus comment être satisfait sexuellement (la tromper était hors de question). J'étais donc coincé dans cet état d'esprit dans lequel l'amour, la haine et le ressentiment se mélangeaient et je détestais ça.
Finalement, les choses ont commencé à changer au moment où une personne a emménagé au-dessus de notre appartement. Une nuit, cette personne a commencé à avoir des rapports sexuels bruyants, ce qui a frustré ma partenaire. Elle a essayé de voir si j'étais aussi fâché, mais je pense qu'elle a remarqué que j'étais jaloux. Le matin suivant, elle m'a confié qu'elle avait peur que je la quitte, qu'elle avait envie d'avoir des relations sexuelles, mais qu'elle ne pouvait pas en ce moment précis en raison du stress et de sa contraception.
Heureusement, j'avais lu sur internet des histoires comme la nôtre et des conseils pour régler cette situation. J'ai donc essayé de mettre en action ce que j'avais appris. Je lui ai expliqué que jamais je ne la tromperais ou la laisserais tomber. Je lui ai dit que je comprenais le rôle que jouaient son stress et sa contraception - et que je ne voulais pas que sa peur ne la pousse à coucher avec moi. J'ai aussi été honnête à propos de mes sentiments et de mon manque de désir sexuel pour elle. À un certain point, nous avons arrêté de parler et je pense qu'il s'agit d'un point tournant de notre relation. J'ai essayé d'initier un rapport sexuel. Même si nous n'avons pas fait l'amour, le rejet a été compris par nous deux et personne n'a été blessé.
Notre vie sexuelle ne s'est pas améliorée. En fait, nous n'avons pas eu de rapports sexuels depuis cette discussion, mais notre relation s'est améliorée. Nous nous comprenons mutuellement, nous communiquons mieux, nous rions à nouveau, elle est à nouveau câline et nous nous embrassons même plus qu'avant. Donc notre problème ne s'est pas nécessairement tout à fait réglé, mais nous nous en occupons à notre façon et je crois honnêtement que tout ira mieux bientôt. -Mark
Ce texte a été traduit de l'anglais du HuffPost Américain.
À VOIR AUSSI
Sa jambe a été greffée à l'envers, mais il y a une explication logique
Une jeune Britannique âgée de sept ans a dû être amputée d'une jambe à la suite d'un cancer des os.
Une tumeur a été découverte dans le fémur gauche d'Amelia Eldred, en août dernier. Après avoir subi des traitements de chimiothérapie, une chirurgie a été pratiquée pour enlever sa cuisse.
Mais ce ne fut pas une amputation comme les autres.
Les chirurgiens de l'hôpital Royal orthopédique de Birmingham ont effectué une opération très rare sur Amelia Eldred. La rotationplastie consiste à amputer la jambe juste en dessous de la hanche. La partie entre la hanche et le genou, où la tumeur se situe, est enlevée et celle sous le genou est ensuite rattachée à l'envers.
Cela signifie que le talon sera utilisé comme une articulation du genou et le pied pourra éventuellement se glisser dans une prothèse.
Avant l'opération, Amelia aimait la natation, l'athlétisme, la course ainsi que le vélo et elle est déterminée à remonter sur une scène un jour pour danser.
Girl, 7, from Tamworth, has leg reattached backwards by @ROHNHSFT after cancer surgery so that one day she may dance again. pic.twitter.com/ZbQZ79NYuJ
— BBC Midlands Today (@bbcmtd) 25 avril 2018
Les médecins sont impressionnés par la vitesse à laquelle Amelia s'habitue à la perte de sa jambe. Des campagnes de fonds ont été mises en branle pour l'aider à atteindre son rêve.
La chirurgie a eu lieu au mois de janvier et un récent test d'imagerie par résonance magnétique montre que les os fusionnent bien.
Dans environ trois mois, Amelia pourra à nouveau mettre du poids sur sa jambe et une prothèse pourra lui être confectionnée.
Cette église pourrait être à vous pour 25 000$

À la recherche d'une propriété non conventionnelle? Sachez que vous pouvez mettre la main sur une église au Québec pour le très bas prix de 25 000$. Toit cathédrale en prime!
Située à Saint-Armand en Montérégie, l'église Notre-Dame-de-Lourdes serait en très bon état même si sa construction remonte à 1926.
La convertirez-vous en condos, salle de spectacle ou microbrasserie? L'acheteur devra en tout cas s'entendre avec la ville avant d'amorcer tous travaux. La municipalité de Saint-Armand serait cependant «ouverte à vos projets», comme le stipule l'annonce publiée sur le site zonevendu.com.
Le courtier Olivier Maurice, qui a plusieurs ventes d'églises à son actif, a affirmé en entrevue avec TVA Nouvelles qu'il faudra retirer l'amiante des murs si le nouveau propriétaire touche aux murs. Une opération qui peut coûter dans les six chiffres.
Avec la TPS et la TVQ, le prix de du bâtiment patrimonial de 6000 pieds carrés atteindra 30 000$, même si sa valeur est évaluée à 359 300$. Le propriétaire sera en plus exempt des taxes municipales et scolaires par la suite.
Intéressé? Une visite libre est organisée le dimanche 29 avril de 14h à 16h.
VOIR AUSSI :
Scarlett James, le burlesque à l’état pur
Samedi 28 avril, pour un soir seulement, Scarlett James s'apprête à monter sur les planches pour célébrer ses dix ans de carrière. Dans le spectacle Scarlett Grande Revue, en forme d'hommage aux années 1940, la reine québécoise du burlesque a invité des artistes de tous les horizons pour un rendez-vous multidisciplinaire scintillant. Rencontre.
Elle nous reçoit dans son atelier situé au sous-sol de sa maison. Accompagnée de son adorable yorkshire, Scarlett James – productrice du festival burlesque de Montréal – ne peut cacher son impatiente de se retrouver bientôt sur la scène du Club Soda.
«Le spectacle va mettre à l'affiche les années 1940 à Montréal, lance-t-elle en entrevue. À cette époque liée à la prohibition aux États-Unis, la ville a vécu un énorme boom artistique. Les gens venaient trouver un havre de paix à travers une incroyable vie nocturne. Les plus grands de ce monde se sont d'ailleurs retrouvés à un moment ou à un autre à l'intérieur d'une des multiples salles de spectacle du célèbre Red Lightcomme Édith Piaf, Cab Calloway ou Charles Aznavour.»
Le Scarlett Grande Revue sera donc l'occasion d'un retour à la grande époque du cabaret à Montréal, le tout animé par un maître de cérémonie et agrémenté par les sonorités du groupe des Séparatwists. «Il y aura sur place un orchestre dont la musique va refléter l'ambiance jazz, classique et blues de l'avant-guerre. Même le décor fera un clin d'œil à cette effervescence. Il sera aussi question de variété avec la participation d'une belle brochette de personnalités issues de plusieurs univers artistiques.»
Du cirque, de l'humour et de la magie, Scarlett James voulait cette diversité des arts comme un moyen d'aborder le burlesque par plusieurs points de vue. «Je vais offrir une dizaine de numéros. Le public va assister à une sélection de mes meilleures prestations, celle que je préfère aussi. C'est comme un trou normand au cours d'un repas bien garni. On se rince le palais pour continuer à apprécier les saveurs qui vous sont présentées. Avec le burlesque, c'est la même chose, car cela permet à chacun des numéros d'être apprécié à leur juste valeur.»
#MeToo et le burlesque
Un spectacle bourré de surprises, promet-elle. Les noms connus défilent déjà. La sirène du tissu aérien Anouk Vallée, l'acclamée Lady Joséphine, sans oublier Lexxi Brown, Loulou la Duchesse, Audrey Ivory. Et puis bien entendu, la présence de Scarlett James. «On va retrouver mon style, un burlesque classique dans l'art et le jeu de la séduction. Je ne vais pas non plus faire l'économie de la légèreté et la sensualité. Mon intention n'est pas de mettre le public mal à l'aise. On reste dans le rêve et le glamour.»
Avec son spectacle ouvert à tous, en couple ou pas, elle souhaite surtout offrir un moment de détente. «On vit dans un monde où l'on constate bien qu'il faut toujours pousser et choquer les gens afin d'obtenir une réaction. C'est bien, mais dans mon cas, j'ai plutôt envie de leur accorder un moment de pause où les gens sont là simplement pour apprécier une belle soirée sans avoir à se casser la tête.»
Toutefois, Scarlett James ne s'estime pas hors du temps. Elle veut faire un art collé aux problématiques de son époque. Et depuis le mouvement #MeToo et les nombreuses dénonciations de harcèlements et d'agressions sexuelles, l'artiste estime le burlesque encore plus nécessaire aujourd'hui.
Ainsi, le spectacle fera passer quelques messages qu'elle croit importants. «Montrer une femme qui va faire un effeuillage sur la scène sans être un objet sexuel, explique-t-elle. J'incarne une femme en pleine possession de ses moyens, de son corps et de sa sexualité. En se respectant soi-même, on inspire le respect des autres. L'art est un médium de communication nécessaire. J'essaye juste d'apporter ma petite contribution», conclut-elle.
Scarlett James Grande Revue, le 28 avril 2018 à 20h00 au Club Soda, 1225, boulevard Saint-Laurent.
À VOIR AUSSI
La génération tyrannique

Depuis quelques années, les instituteurs crient au secours devant l'indifférence des directeurs d'écoles, face à la montée des cas de violence commis par de plus en plus de jeunes au primaire.
Des profs mordus, poussés, frappés, insultés, certains devant se rendre à l'hôpital et d'autres complètement vidés décidant de changer complètement de vocation.
Selon des sondages auprès des enseignants, 57% d'entre eux ont été victimes d'agressions physiques et 77% de violence verbale. Qui d'entre nous endurerait cette façon de faire ? Dommage pour les instituteurs, ils n'avaient qu'à choisir une autre branche.
Quand des parents se dressent devant l'instituteur et défendent l'indéfendable, ils sapent le peu d'autorité restant et décrédibilisent le système même dans lequel ils fonctionnent.
Comment des parents peuvent-ils cautionner cette violence qu'ils réprouvent chez les autres ? Notre société individualiste basée sur «je suis la personne la plus importante au monde» ne pourra fonctionner encore très longtemps...
Partout maintenant dans la société, les enfants-roi ont fait place aux enfants-tyrans. Maintenant, les enfants décident du resto où tout le monde ira, des films à regarder, des endroits à visiter. Oui, il faut que ces mioches s'expriment et fassent leur chemin dans la vie. Dans les restaurants, il n'est plus rare de voir courir des enfants entre les serveuses aux mains remplies d'assiettes. Et quand, celles-ci demandent poliment aux parents d'aviser les enfants, elles se font régulièrement apostropher. «Ce n'est pas aux enfants de faire attention.» Oui, les parents ont raison... Ce n'est pas aux enfants de faire attention, mais aux parents de les éduquer. Le problème est que beaucoup de ces parents n'ont pas reçu de règles de base, vous savez un petit truc appelé le savoir-vivre. Le livre a été mis à la poubelle en même temps qu'est née la Charte des droits. Maintenant que la société est devenue l'entité qui tourne autour de toi, pourquoi ferais-tu attention aux autres?
Ces petits tyrans issus de notre société où le parent doit négocier ou abdiquer seront les futurs adultes égoïstes et sans scrupules qui se reproduiront à leur tour.
Il y a quelques semaines, je regardais à la télé un court reportage sur une foire d'emplois fait au palais des congrès. Les jeunes qui n'avaient pas encore travaillé allaient se magasiner un job. Les commentaires: C'est quoi les vacances? Est-ce que ça rejoint mes valeurs profondes? Avons-nous les mêmes idées? Parlons des chances d'avancement. Heu... Tu n'es même pas engagé, peux-tu juste t'ajuster au patron qui t'engage?
Heu... Tu n'es même pas engagé, peux-tu juste t'ajuster au patron qui t'engage?
Il devrait y avoir des cours de savoir-vivre dans nos écoles. Pour ceux de ma génération, il y avait ce petit livre : Hygiène et bienséance. On nous apprenait à respecter nos ainés, bien nous tenir à table, céder sa place aux femmes enceintes, des trucs comme ça... Nos parents soutenaient les profs, car ils étaient le prolongement de la famille. En jetant tout ça par-dessus bord, nous créons un espace flou laissant libre cours à l'exagération.
Je suis désolé, mais quand tu es en société, il y a des règles à suivre. Use une paire de culottes avant de décider comment ton patron devrait gérer sa compagnie. La politesse devrait faire partie de ton parcours de vie. En société, le groupe a préséance sur l'individu, c'est ainsi qu'une civilisation se construit.
Mais avant d'aller mieux, ça ira pire. La génération tyrannique fera place à une génération allant plus loin encore. À moins que la précédente écrase la suivante. Pessimiste, oui un peu. Réaliste, ça beaucoup.
Quelques règles d'étiquette pour les invités au mariage princier

Bien que le mariage du prince Harry et de Meghan Markle, le 19 mai, sera plus discret que celui de William et Kate, les invités à la chapelle Saint-Georges devront suivre le protocole religieux et royal, ou du moins les traditions britanniques de base, selon des experts de l'étiquette.
Les faire-part envoyés aux 600 invités mentionnaient le code vestimentaire: pour les hommes, un uniforme militaire, une veste tailleur ou un complet, en évitant les couleurs criardes. Pour les femmes, «une robe de ville avec chapeau».
Le code vestimentaire est suffisamment vague pour qu'il y ait un risque de faux pas. Il permet également d'honorer de vieilles traditions méconnues, comme l'utilisation de la paille comme matériel pour les chapeaux après Pâques.
Voici quelques conseils d'étiquette pour un mariage royal:
Tenue de ville et épaules
L'experte en étiquette Myka Meier, qui a suivi une formation à Londres auprès d'un membre de la résidence royale, affirme que la tenue appropriée pour une telle occasion peut être bien différente au Royaume-Uni qu'ailleurs dans le monde.
Les épaules des femmes devraient être couvertes. Il faut savoir qu'il est question de l'Église d'Angleterre, et que la grand-mère du marié est à la tête de cette institution. Les jupes ne doivent pas être plus courtes que le doigt le plus long lorsque les bras sont tenus le long du corps, et pas plus longues que le milieu du mollet, souligne Mme Meier.
«On ne verra pas de décolleté. On ne verra pas beaucoup de peau, a-t-elle noté. Du moins, on ne devrait pas. Ce serait perçu comme un manque de respect.»
Les robes majoritairement noires ou blanches sont à éviter. Le blanc est réservé à la mariée, et possiblement à ses demoiselles d'honneur. Le noir est une couleur de deuil. Des accents, des motifs ou de petites touches de ces couleurs sont acceptables.
On verra probablement de légers motifs, mais les imprimés trop gros sont inacceptables, indique la spécialiste. Ce sera un mariage printanier, et on peut donc s'attendre à beaucoup de pastel et d'imprimés saisonniers, comme des fleurs.
Les invités internationaux peuvent se vêtir des équivalents de leur pays.
«Au bout du compte, on souhaite seulement être adapté à la formalité de l'événement auquel on participe», souligne Mme Meier.
Chapeaux: ce n'est pas la taille qui compte
Les mariages royaux peuvent ressembler à un festival du chapeau.
«Les chapeaux sont un signe de festivité pour un mariage britannique. Ils sont gardés sur la tête à l'intérieur de l'église, mais les gens doivent penser à ceux assis derrière eux», explique Mme Meier, qui se spécialise dans l'étiquette et les protocoles sociaux internationaux et d'affaires.
«Ce n'est pas le Kentucky Derby. Pas de gros rebords. Rien de trop haut», note-t-elle.
Le bibi — ces petits chapeaux décorés de boucles, de fleurs et plus — est populaire et parfaitement acceptable, en plus de donner une touche de fantaisie à la tenue.
«La fantaisie, et non la folie, est acceptable», selon la styliste Diane Lloyde Roth, qui habille des Américains pour des événements mondains européens depuis plus de 30 ans.
Mme Meier souligne que les femmes commencent souvent par le chapeau lorsqu'elles planifient leur tenue. Mme Lloyde Roth a une règle générale: «Assurez-vous que votre chapeau et votre tenue vont au même événement.»
L'énorme chapeau porté par la princesse Béatrice au mariage du frère de Harry, le prince William, avec Kate Middleton servira de mise en garde. L'observatrice de la famille royale Anne Chertoff décrit la grande boucle du bibi de Béatrice comme étant «ridicule de tellement de façons, mais au moins on pouvait voir à travers».
Trouver chaussure à son pied
Le mariage est un événement religieux, mais aussi un événement qui se déroule le jour. Cela ne signifie pas qu'on peut s'y pointer chaussé n'importe comment. Ce n'est pas un pique-nique.
Il faut oublier les chaussures ouvertes et les plateformes. L'escarpin-sandale est aussi considéré comme trop familier, juge Mme Meier.
«On veut quelque chose d'environ quatre pouces de haut, maximum, précise-t-elle. L'entrée ne sera pas facile. Il y aura de la pierre, bien qu'on y verra aussi différents types de tapis.»
Et les talons aiguilles? Mieux vaut les oublier.
Et le sac à main?
Il doit être petit.
«On compte environ 800 sièges dans la chapelle Saint-Georges, mais on y est tout de même entassé. Il n'y a pas d'espace pour de gros sacs», rappelle Mme Meier.
Les pochettes ou autres sacs pouvant être gardés sur les genoux ou sur le côté sont à privilégier.
La duchesse Kate utilise régulièrement de tels sacs. On ne voit jamais non plus la reine se balader avec un sac géant.
Du côté des hommes
La majorité des hommes porteront une veste-tailleur, prédit Mme Meier. Ils portent des habits, souvent gris, bleu marin ou noirs. Ils ont aussi une veste et une cravate. De fines rayures peuvent parfois se retrouver sur le pantalon.
Pour ce qui est du complet, plus il est sombre, plus il est formel. Le complet en lin est à éviter.
Les chaussures devront être cirées comme elles n'ont jamais été cirées auparavant. Et les hommes pourront s'amuser avec les couleurs et les motifs de leur cravate, de leur mouchoir de poche et de leurs chaussettes. On évite cependant les ceintures ou chaussures brunes, qui sont perçues comme étant moins formelles que les noires.
Les médailles portées sur les uniformes militaires sont communes, tout comme les autres types de médailles épinglées aux vestes-tailleurs.
Ne pas trop en faire
«Les Américains l'oublient parfois, estime Mme Lloyde Roth, qui réside à New Canaan, au Connecticut. Vous n'êtes pas la princesse.»
Le maquillage doit être minimaliste, tout comme les accessoires. Les invités de bon goût laisseront leur chapeau parler pour eux, note-t-elle.
«On peut y aller avec une lèvre audacieuse, et un chapeau. Ça équilibre le tout», suggère la styliste.
En ce qui concerne les accessoires, elle offre ces paroles sages de Coco Chanel: «Avant de quitter la maison, regardez-vous dans le miroir et retirez-en un.»
Le facteur Hollywood
«Le seul choc des cultures possible surviendrait si les gens de Hollywood tentaient de se montrer plus royaux que la royauté, croit Mme Lloyde Roth. Ils doivent se souvenir qu'il s'agit de la plus haute classe. Ils possèdent les bijoux et les vêtements qu'ils portent. Ils ne se transforment pas en souris à minuit.»
On dit que la reine n'aime pas particulièrement les robes aux bretelles étroites et les tenues trop révélatrices. Les invités ne se changeront pas pour assister à une réception immédiatement après le mariage, mais il y aura une fête privée à Frogmore House, au sud du château Windsor. Si la tenue de soirée est de mise, comme c'était le cas après le mariage de William et Kate, les femmes seront appelées à porter une robe longue.
«Elle peut être sans manches, sans bretelles ou à manches longues, selon le style et les préférences personnelles de l'invitée», note Mme Meier.
Mme Chertoff est d'accord et prédit des tenues fabuleuses le soir venu, incluant des décolletés plongeants et de hautes fentes à la jupe.
La reine n'avait pas assisté à la soirée ayant suivi le mariage de William et Kate, et fera sans doute de même cette fois-ci, donc aucun risque de la choquer. Ce qui se passera à Frogmore House restera à Frogmore House.
«Les caméras seront éteintes. Tout se passera derrière des portes closes», conclut Mme Chertoff.
Le Bal des Couilles 2018 pour la bonne cause
Le Bal des Couilles, événement-bénéfice sous la présidence d'honneur de Maxime Le Flaguais, s'est déroulé vendredi 27 avril au soir.
Au programme: chemises carreautées et tuques aviateurs, la thématique de cette 6e édition était sur le thème de la cabane à sucre chic.
Le Bal des Couilles célèbre la gent masculine dans toute sa splendeur: c'est le point culminant de la collecte de fonds annuelle de Cancer Testiculaire Canada.
Faire son Auto-Examen
Le cancer testiculaire est la forme de cancer la plus courante chez les hommes âgés de 15 à 29 ans, mais c'est aussi un cancer parmi les plus faciles à traiter lorsqu'il est détecté tôt. Alors, apprenez à vous examiner au moins une fois par mois. Plus vous êtes familier avec la forme et la taille normale de vos testicules, plus tôt vous pourrez détecter un signe anormal.
Voir les photos de la soirée dans la galerie ci-dessous:
Voici les 6 fantasmes sexuels les plus communs
Les plus grands fantasmes et désirs sexuels d'une personne sont rarement divulgués. Pour les sexothérapeutes, les conversations de ce genre font partie de leur quotidien.
Nous avons demandé à notre réseau de sexologues de partager les fantasmes cités le plus fréquemment par leurs clients. Voici ce qu'ils nous ont raconté:
1. Les ménages à trois
«Les célibataires et les couples rêvent d'être trois personnes dans la chambre à coucher. La majorité des couples sont attirés par l'idée d'un ménage à trois pour rallumer la flamme de l'excitation et amener du piquant dans leur relation.» - Vanessa Marin, sexologue
2. Dominance et soumission
«Nous voyons de nombreux hommes et de nombreuses femmes intéressés par la domination ou la soumission. Les hommes sont généralement plus attirés par la domination et les femmes plus enclines à désirer être dominées, mais ce n'est pas toujours le cas. Certaines femmes sont dominantes et certains hommes préfèrent être soumis. Ce type de fantasmes est apprécié en raison du sentiment de pouvoir qui l'accompagne.» - Danielle Harel et Celeste Hirschman, sexothérapeutes et auteures deMaking Love Real: The Intelligent Couple's Guide to Lasting Intimacy and Passion
3. Les pieds
«Les fantasmes reliés aux pieds et aux chaussures sont très communs chez les hommes. Être touché par un pied, être piétiné par des pieds chaussés ou simplement visualiser différents types de chaussures font tous partis des fantasmes souvent évoqués. L'image d'un pied dans un type particulier de chaussure est très stimulante pour certaines personnes.» - Gracie Landes, sexologue et thérapeute conjugale et familiale
4. Pour les hétérosexuels, avoir des relations sexuelles avec quelqu'un du même sexe
«Nous avons tendance à penser que l'orientation sexuelle est binaire (hétérosexuelle ou homosexuelle), mais ces catégories sont des concepts socialement construits qui peuvent exprimer nos désirs sexuels généraux, mais qui n'incluent aucune nuance au sujet de la curiosité sexuelle. Quand nous rêvons d'avoir une relation sexuelle avec quelqu'un du même sexe, nous arrivons à réfléchir sur ce que ce serait d'être touché d'une manière différente.» - Ian Kerner, sexologue et auteur de She Comes First: The Thinking Man's Guide to Pleasuring a Woman
5. Donner à l'autre personne des orgasmes multiples
«Pour les hommes hétérosexuels, sans exception, le fantasme que j'entends le plus souvent, année après année, est d'avoir une partenaire enthousiaste qui passe un bon moment, qui est expressive et sensible à son toucher. Il peut s'agir de souvenirs d'une expérience sexuelle passée (particulièrement torride), ou d'images issues de la pornographie ou même d'un fantasme au sujet d'une flamme secrète. Mais dans tous les cas, la femme s'amuse énormément et a de multiples orgasmes.» - Kimberly Resnick Anderson, sexologue
6. Regarder son partenaire avoir des relations sexuelles avec quelqu'un d'autre
«Il y a quelque chose de très provocateur et tabou dans l'idée de regarder notre partenaire faire l'amour avec quelqu'un d'autre. Regarder la main d'un autre toucher le corps de notre partenaire ou embrasser la bouche de notre partenaire augmente le désir. À travers ce fantasme, la douleur devient un plaisir.» - Ian Kerner
Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l'anglais.
L'anxiété sociale ou le malaise d'être avec les gens
Vous avez déjà eu le trac? C'est normal et sain avant une situation où on se met soi-même en représentation (entrevue, présentation orale, etc.) L'anxiété sociale, c'est un peu ça, mais généralisé à plusieurs situations sociales dites banales (voire toutes dans certains cas). C'est comme la timidité, mais à un niveau extrême et malsain. La différence, c'est surtout l'ampleur, l'intensité et l'impact sur le fonctionnement de la personne.
L'anxiété sociale, c'est un stress démesuré, une peur paralysante de certaines situations où tu dois interagir avec des gens. C'est un malaise maladif. C'est un inconfort constant d'être avec des gens, surtout peu connus. C'est te persuader de ne pas pouvoir être toi-même parce que t'as l'impression perpétuelle d'être bizarre, de ne pas cadrer avec les autres. C'est de ne jamais être vraiment à l'aise. C'est surtout se juger plus fort que personne ne le fera jamais.
L'anxiété sociale varie en symptômes et en intensité selon les personnes et les situations. Elle se décline généralement en trois phases distinctes.
Tu tentes de contrôler ton anxiété en essayant de contrôler à l'avance comment ça va se passer. Même si tu sais que ça ne sert à rien.
La première est la présituation. Dès que tu sais qu'un moment redouté va se présenter, ça te perturbe. Tu anticipes le malaise. T'as déjà pas envie de vivre ce moment. Tu stresses, à l'avance, juste à y penser. Tu t'over-informes sur la situation : qui sera là, le déroulement, l'heure à laquelle il ne sera pas mal vu de partir, etc. Plus le moment approche, plus c'est intense. Tu te fais des plans de match ridiculement nombreux. Tu tentes de contrôler ton anxiété en essayant de contrôler à l'avance comment ça va se passer. Même si tu sais que ça ne sert à rien.
Ensuite, il y a le moment en tant que tel. Tu ne sais pas où te mettre. Tu ne sais pas quoi dire, ni à qui. Tu veux être ailleurs, tu ne te sens pas à ta place. C'est ne rien dire, figer par le malaise grandissant qui te paralyse. Ou au contraire commencer à parler frénétiquement pour meubler le silence gênant qui s'installe. C'est se rendre compte que tu parles trop, mais continuer à t'enfoncer. Dans un cas comme dans l'autre, tu te sens bizarre. Et là, ça empire. Ton anxiété prend de plus en plus de place. Elle te murmure à l'oreille, te parle constamment. C'est difficile de ne pas y porter attention. Tu en viens à être plus concentrée sur ton sentiment de malaise que sur la situation en cours. Ton estomac te fait mal tellement il se tord de gêne, de malaise, d'inconfort. T'as honte de ne pas être bien. Et tu paniques par en dedans. Y'a une bulle de stress qui se forme autour de toi. Tellement que tu t'isoles encore plus. Y'a une distance qui s'installe, physique, mais aussi dans ta tête. Comme si tu regardais les gens à travers un filtre. Comme si tu regardais la télé. Comme si tu ne faisais pas partie de ce qui se passe. T'es là, mais t'es pas vraiment là. Parce que t'es dans ta tête au lieu d'être avec les autres. Tu ne vis pas le moment, t'as pas de fun. T'es trop occupée à ne pas être bien. À te sentir mal de te sentir mal. Pis à essayer que ça ne paraisse pas.
La dernière phase peut s'apparenter à un débriefing. C'est tout analyser par après. C'est dresser une liste de ce que tu as pu faire ou dire de bizarre. C'est s'attarder à des choses que personne n'a remarquées, mais qui vont t'empêcher de dormir. C'est voir de toutes petites erreurs, des anomalies banales, et en faire une montagne. C'est trouver des conséquences qui n'existent même pas. C'est se torturer en notant tout détail infime qui peut renforcer ta théorie d'être bizarre. C'est y repenser des jours, des semaines, voire même des années après et ressentir encore la même honte et le même malaise.
L'anxiété sociale, c'est être parfaitement consciente que ça n'a pas de sens, que c'est exagéré, que tout ça n'est pas rationnel.
L'anxiété sociale, c'est être parfaitement consciente que ça n'a pas de sens, que c'est exagéré, que tout ça n'est pas rationnel. C'est perdre le contrôle. Avec le temps, c'est trouver des façons de se sécuriser, de survivre à ces situations, des moyens de contourner notre malaise, de retrouver notre zénitude. C'est se parler à soi-même, plus fort que l'anxiété. Trouver l'équilibre entre le respect de soi et la confrontation nécessaire de ses peurs. Travailler sur soi. Apprendre à lâcher prise.
Qu’est-ce que le pardon en réalité?

Comment arrive-t-on à savoir si on a pardonné à quelqu'un? Est-ce quand on est capable de côtoyer cette personne sans qu'il n'y ait plus aucune friction entre nous? Est-ce lorsqu'on réussit à parler d'elle sans sentir de l'inconfort?
Mais d'abord et avant tout, qu'est-ce que le pardon exactement?
Que justice soit faite
Parmi les premières personnes à qui nous devons pardonner, on retrouve certainement nos propres parents.
Bien que plusieurs d'entre eux clament avoir fait de leur mieux, il reste que les enfants se retrouvent souvent à écoper pour toutes les blessures encore à vif et les comportements qui en découlent. Certains en garderont d'ailleurs des séquelles toute leur vie.
Mais de leur en vouloir nous aide-t-il véritablement à avancer? Bien sûr que non. C'est plutôt l'inverse.
Ma théorie sur le sujet est que celui qui entretient de la rancœur est celui qui souffrira toujours le plus.
Ma théorie sur le sujet est que celui qui entretient de la rancœur est celui qui souffrira toujours le plus. La plupart du temps, la personne qui nous a agressés ou contrariés est déjà passée à un autre appel. À la limite, elle ne réalise même pas la portée de ses gestes. C'est choquant; je sais... mais c'est la vérité.
Alors, pourquoi vouloir s'acharner? Parce que nous voulons que justice soit faite? Et de quelle justice parle-t-on exactement? De notre désir de voir l'autre subir les mêmes épreuves que nous avons vécues? Pensons-nous réellement que nous nous sentirions en paix si une telle chose venait à survenir?
Peut-être sur le coup – parce que ça lui servirait de leçon –, mais je ne pense pas qu'on puisse racheter toute la peine, la honte et la frustration que nous avons pu vivre en faisant subir le même châtiment à cette personne.
Les fameuses excuses
Je dois avouer que, bien souvent, de ne pas comprendre pourquoi on nous a traités de telle manière ou on s'est comporté de telle manière, c'est ce qui nous empêche d'avancer. J'ai moi-même été prise dans cet engrenage pendant plusieurs années, essayant de comprendre pourquoi ma mère avait pu être aussi méprisante envers moi.
Mais mon constat est que, malheureusement, tout ne s'explique pas. Bien souvent, les personnes qui ont mal agi ne savent même pas elles-mêmes pourquoi elles ont fait ce qu'elles ont fait.
Alors, si nous nous accrochons à l'idée que de mieux comprendre les motivations de l'autre personne nous aidera à nous sentir plus libres, il est possible que cela n'arrive jamais.
Même chose pour les excuses qui, nous le croyons, aideront à minimiser un peu l'offense. Il est vrai que ça ne peut pas faire de torts, mais encore là, nous devenons totalement dépendants de celui ou de celle qui nous a blessés. Nous continuons à lui donner un « droit de vie ou de mort » sur nous. Façon de parler, bien entendu.
Un travail qui se fait en solo
Selon moi, le pardon est un travail qui doit se faire en solo. À partir de l'instant où nous devons compter sur la collaboration des autres ou des circonstances, celui-ci risque de ne jamais arriver.
En réalité, nous avons tout ce qu'il faut à l'intérieur de nous pour raisonner correctement et ainsi rectifier le tir.
- Pardonner, c'est d'abord et avant tout se choisir.
- C'est de refuser de se voir comme une victime, même si à l'époque nous l'étions probablement.
- C'est d'abandonner tous ces ressentiments qui n'amènent que de la lourdeur dans notre vie.
- C'est d'arrêter de s'autoflageller en ressassant sans cesse le passé.
Si nous nous entêtons à en vouloir aux autres, nous ne faisons qu'accentuer la blessure. Nous nous enfermons davantage dans l'humiliation, dans la honte. En un mot, nous devenons notre propre agresseur en perpétuant le mal que quelqu'un d'autre a commencé.
Le jour où j'ai arrêté de vouloir chercher à comprendre ou d'espérer une quelconque forme de réparation, c'est à ce moment-là que je me suis sentie plus libre.
Tout à coup, je reprenais mon pouvoir. Je redevenais maître de ma destinée. Et, surtout, je regardais droit devant en mettant toutes mes énergies là où il est possible de faire différemment, mais surtout, de faire mieux.
Voici comment un dauphin fait tomber un homme de sa planche à pagaie
Voici ce qui arrive lorsqu'on est dans le chemin.
A stand up paddle boarder has had a surprise encounter with a dolphin in Western Australia. #Dolphin#7Newspic.twitter.com/O3tsQ7qget
— 7 News Sydney (@7NewsSydney) 28 avril 2018
C'est probablement ce qu'a pensé ce dauphin lorsqu'il a foncé de plein fouet dans un homme sur une planche à pagaie à Gracetown, en Australie. Le sportif, un homme de 54 ans nommé Andrew, a déclaré à 7News Sydney que les dauphins étaient probablement en train de chasser un banc de poissons.
«L'un d'eux, pour une raison quelconque, a décidé de sauter hors de l'eau et m'est rentré dedans», a déclaré Andrew.
Ce dauphin savait exactement ce qu'il faisait.
Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l'anglais.
Sondage Léger: les Canadiens sont-ils déjà sortis de leur pays?
«Moi mes souliers ont beaucoup voyagé», chantait Félix Leclerc. Facile de chanter, mais est-ce facile de s'aventurer hors des frontières. Est-ce que la majorité des Canadiens peuvent se targuer d'avoir déjà voyagé à l'extérieur du pays?
Il semble que oui, puisque selon un nouveau sondage de la firme Léger, presque la totalité (90%) des Canadiens a déjà voyagé hors des frontières. On ignore les détails sur les destinations, mais la proximité avec les États-Unis n'est évidemment pas étrangère à un tel chiffre...
Le Québec constitue la province la moins encline (82%) à s'aventurer hors du pays. La Colombie-Britannique est la province la plus voyageuse avec 96% de sa population qui a déjà voyagé.
Ce n'est pas le cas aux États-Unis, où ce nombre descend à 37%.
On note une différence en ce qui à trait aux générations. Les milléniaux, à 86%, ont encore le temps de sortir du pays pour rejoindre le taux des baby-boomers (96%).
Sans surprise, le revenu influe sur les voyages à l'extérieur du pays. Les Canadiens avec un revenu de 100 000 $ et plus sont les plus nombreux à voyager (97%), contrairement aux travailleurs avec un revenu inférieur à 40 000 $ qui sont ceux voyageant le moins (79%) dans la population.
Ce sondage Léger a été réalisé du 5 au 7 mars 2018 auprès de 1567 Canadiens et 1008 Américains représentatifs. La marge d'erreur est de 2,5% et 3,1.
Ce qu'il faut savoir sur le curcuma
Il s'endort sur sa chaise et ça fesse!
Des mères comparent leur photo post-accouchement à celles de Kate Middleton
La duchesse de Cambridge a donné naissance à son troisième enfant Louis Arthur Charles lundi dernier. Environ sept heures plus tard, elle sortait de l'hôpital avec un maquillage complet et une belle mise en plis pour montrer le nouveau membre de la royauté à tout le monde.


Certains l'ont cependant critiqué d'envoyer un message irréaliste aux femmes. Celui qu'elles ont besoin d'avoir l'air parfaites, sans défaut, tout de suite après l'accouchement.
Ça a d'ailleurs incité certaines nouvelles mamans à publier des photos post-natales plus réalistes en ligne afin de rétablir la vérité.
Découvrez-en quelques-unes (dont certaines hilarantes) ci-dessous :
VOIR AUSSI :
Prince William et Kate Middleton partagent un doux souvenir pour leurs 7 ans
Le duc et la duchesse de Cambridge célébraient leur septième anniversaire de mariage dimanche et pour marquer le coup, le palais de Kensington a publié une magnifique photo du jour J.
On peut voir le prince William et Kate Middleton heureux comme tout en sortant de l'abbaye de Westminster le 29 avril 2011, dans une décapotable bleue munie de ballons.
Le couple qui a accueilli son troisième enfant, le prince Louis, le 23 avril dernier sera au second plan lors du mariage entre le prince Harry et Meghan Markle le 19 mai prochain. William sera homme d'honneur, par contre.
Mais c'est bien de se souvenir de lui lorsqu'il était le marié.
VOIR AUSSI :
Ce texte initialement publié sur le HuffPost américain a été adapté de l'anglais.