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Un remède miracle contre la calvitie aurait été découvert

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La calvitie est complexe et stresse tous ceux qui en sont victimes. Mais ne blâmez pas votre mère trop vite en vous disant qu'il n'y a plus rien à faire. Des chercheurs croient avoir trouvé dans un remède contre l'ostéoporose un composé chimique permettant de faciliter significativement la pousse de cheveux.

Les scientifiques de l'Université de Manchester ont constaté que le WAY-316606, l'un des principaux agents actifs dans le traitement contre la perte osseuse, bloquait la protéine naturelle (SFRP1) qui annihile la croissance des poils sur le coco.

Le traitement expérimental a été testé sur des échantillons capillaires et a donné des résultats plus que prometteurs.

Le chercheur principal associé, Dr. Nathan Hawkshaw, affirme que les follicules ont commencé à produire de nouveaux poils en deux jours. Une croissance qu'il juge «très rapide».

Et selon les premiers résultats, il n'y aurait pas d'effets secondaires dangereux associés.

«Le fait que ce nouvel agent, qui n'a jamais été considéré dans un contexte de perte de cheveux, favorise la pousse de cheveux humains est excitant à cause de son potentiel concret: ça pourrait un jour faire une vraie différence dans la vie de ceux qui souffrent de calvitie. Je suis vraiment optimiste que ça puisse marcher», s'est réjoui Dr. Hawkshaw.

Avant qu'il ne soit commercialisé, les chercheurs de l'Université de Manchester doivent trouver un moyen d'en faire un traitement topique, un gel ou un shampoing qui pourrait atteindre le follicule. Ils procéderont ensuite à des tests sur des humains. Ça prendra donc un certain temps avant que vous puissiez mettre la main dessus.

Seuls deux médicaments - le minoxidil et le finasteride - sont actuellement prescrits pour traiter la calvitie, mais ne donnent malheureusement pas de résultats satisfaisants.

VOIR AUSSI :


Quand un camion-citerne rempli de chocolat se renverse

La bactérie E. coli dans des laitues romaines rend malades six personnes au Canada

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Six Canadiens ont été infectés à la bactérie E. coli dont l'empreinte génétique est semblable à celle de la laitue romaine du sud-ouest des États-Unis qui a rendu malades 149 personnes dans 29 États américains, selon l'Agence de la santé publique du Canada.

L'organisme affirme que deux des six Canadiens ont déclaré avoir voyagé aux États-Unis avant de tomber malades en raison de l'E. coli O157, que trois d'entre eux ont été infectés au Canada et que l'autre cas fait l'objet d'une enquête.

Toutes les personnes sont tombées malades entre la fin mars et la mi-avril dans quatre provinces — une en Colombie-Britannique, une en Alberta et deux en Saskatchewan et deux en Ontario.

Un Canadien a été hospitalisé et aucun décès n'a été signalé au Canada.

Deux Canadiens ont déclaré avoir voyagé aux États-Unis et avoir consommé de la laitue pendant leur séjour avant de tomber malades. Les autres ont mangé de la laitue romaine à la maison, ou dans des salades préparées achetées dans les épiceries, au restaurant et dans une chaîne de restauration rapide, avant que la maladie ne se manifeste.

L'agence indique que s'il est établi que la laitue romaine contaminée est vendue sur le marché canadien, l'Agence canadienne d'inspection des aliments procédera à un rappel du produit si nécessaire.

La Food and Drug Administration, l'Agence américaine de santé, affirme que la laitue romaine des régions de Yuma, en Arizona et en Californie, n'est plus cultivée ni distribuée, ce qui réduit le risque d'exposition à la laitue contaminée.

Au moins 64 personnes ont été hospitalisées aux États-Unis, dont 17 souffrant d'insuffisance rénale. Un décès, précédemment signalé, s'est produit en Californie.

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Tous les secrets beauté de Jenna Dewan

Les leçons de l'île de Pâques

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Avec ses côtes échancrées, ses surfeurs et ses centaines de fleurs d'hibiscus, l'île de Pâques pourrait ressembler à plusieurs de ses semblables dans le Pacifique. Ses visiteurs sont cependant davantage concernés par les statues d'ancêtres qu'on y trouve, les célèbres moai, et par les nombreux mystères de ce lieu unique, touchant aussi ses habitants, les Rapa Nui.

Comme bien des voyageurs, lorsque je m'y suis rendu, je me nourrissais de l'illusion de pouvoir percer ne serait-ce qu'une partie de ces mystères. Je pensais qu'en comprenant ainsi un peu mieux le passé de cette île fascinante, j'en retirerais des leçons de sagesse qui pourraient être utiles.

Parmi ces mystères, certains sont plus obsédants. Pourquoi l'île s'est-elle complètement déboisée, laissant la population démunie, sans ressources suffisantes pour survivre? Comment la population des Rapa Nui, qui se chiffrait entre dix et vingt mille habitants dans ses années de gloire, a-t-elle été réduite à un peu plus d'une centaine de personnes au début du XXe siècle? Serait-il possible de voir dans l'effondrement de cette civilisation le présage de ce qui nous attend en tant qu'humanité?

Depuis des années, des experts de diverses disciplines scrutent dans le détail les sols, les pierres, les œuvres d'art, les os ramassés sur place, ils envoient d'infimes morceaux de l'île dans des laboratoires, afin que la science puisse enfin donner des réponses rationnelles à ce qui semble inexplicable. Mais certains mystères persistent encore.

Une hypothèse a beaucoup frappé l'imagination, défendue surtout par le chercheur Jared Diamond qui s'est intéressé à l'effondrement des civilisations. En consommant de façon irresponsable d'énormes quantités de bois, entre autres pour le transport des moai qu'ils sculptaient en trop grande quantité afin de montrer la puissance de leur clan, les Rapa Nui se seraient rendus responsables d'un suicide écologique. Sans ressources, ayant détruit la vie sur l'île, ils se seraient entretués et auraient contribué à leur propre disparition.

Sans ressources, ayant détruit la vie sur l'île, ils se seraient entretués et auraient contribué à leur propre disparition.

Cette hypothèse est devenue une fable qui explique notre propre condition et nous lance un important avertissement. Nous aussi, nous consommons au-delà des limites de ce que notre planète produit et devrons peut-être subir le même sort. Si cette leçon semble essentielle, elle ne doit cependant pas se transmettre à partir de faits qui ne sont pas véridiques. Elle n'est donc pas de celles que nous devons retenir d'une visite à l'île de Pâques.

Les causes de la déforestation restent très discutées. Surpopulation, sècheresse, tsunami ou invasion de rats? L'important, c'est que si les Rapa Nui ont vécu une véritable crise à la suite de cette déforestation, ils ont très bien su résoudre leurs problèmes et s'adapter. Ils ont délaissé le culte des ancêtres, ont fait tomber les statues de leurs autels de pierre (ahus), arrêté leur fabrication, pour s'adonner au culte de l'homme oiseau qui a recréé l'unité entre les clans. Si bien que les Hollandais qui ont visité l'île quelques années plus tard ont trouvé une population bien nourrie, en paix et en santé.

La cause de leur quasi-extinction, en fait, ne s'entoure d'aucun mystère. Il s'agit d'Occidentaux, principalement d'esclavagistes péruviens, qui ont réduit une importante partie des hommes en esclavages. La majorité en est morte et les survivants ramenés sur l'île ont répandu de terribles maladies qui ont décimé la population. La plus grande leçon à retenir de la triste épopée des Rapa Nui est donc vieille comme le monde. Il s'agit d'une autre histoire de domination, de cupidité, d'exploitation éhontée, de manque total d'empathie. L'être humain contrôle plus facilement son environnement que sa propre nature qui peut atteindre des sommets de cruauté. Et si on considère de façon plus large notre situation aujourd'hui, ce sont ces mêmes aspirations aveugles et destructrices d'une élite ultra favorisée qui pourraient mener à la grande catastrophe écologique évitée par les Rapa Nui.

Le voyageur qui déambule aujourd'hui dans l'île de Pâques est nécessairement saisi par les moai redressés depuis longtemps déjà, par la fierté de leur allure, leur placidité et leur air vaguement sceptique. Ils s'entourent désormais de secrets peut-être moins grands que dans le passé, mais leur présence tutélaire est tout aussi envoûtante. Peut-être parce qu'on sait qu'ils racontent une étrange histoire du bout du monde, une autre histoire pleine de bruit et de fureur qui rappelle une fois de plus toute la complexité de l'expérience humaine.

Je ne me tairai plus (jamais)

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« Tous les hommes ne sont pas comme ça ». Cette phrase, d'une évidence pratiquement ironique, m'a toujours donné l'impression qu'elle servait à faire taire les femmes qui osaient énoncer les actes odieux qui auraient été posés contre elle. En outre, elle prouve plutôt l'incompréhension de quiconque la formule dans un contexte où une femme ou, potentiellement, un homme, ayant subi une micro-agression de la part d'un homme ose partager son histoire et braver le silence. Ce n'est pas en s'affirmant contre le patriarcat qu'on sous-entend que tous les hommes sont les mêmes.

Je me suis tue trop longtemps, potentiellement. J'ai oublié, à force de voir constamment renforcée cette image de la femme sans aucune courbe, qui n'élève ni la voix ni son statut social, le nombre d'hommes et de femmes qui ont voulu m'imposer ma féminité comme un obstacle : toutefois, jamais je ne saurais effacer de ma mémoire le premier d'entre eux. J'étais à peine une adolescente et, déjà, il m'apprenait tout ce que je devais savoir sur mon rôle de femme en devenir, commentant mon poids, mes vêtements, me conseillant une manière de marcher, de m'habiller et d'attirer les garçons (ou, clin d'œil clin d'œil, les messieurs). Je le voyais chaque jour et, avec le temps, j'ai appris à craindre cet homme qui aurait dû me protéger et m'apprendre à m'armer contre les stéréotypes. Souvent, la manière de penser en elle-même est plus nocive que l'individu qui la propage, parce qu'elle est si facile à intégrer et à perpétuer, et qu'elle lui a souvent été imposée par un manque d'éducation aux rôles de genre. Je n'ai jamais osé manifester mon désaccord face à son point de vue, agir et m'éloigner. À force de me faire dire que je n'avais pas de voix, que j'étais faible, trop timide, trop isolée, j'ai fini par le croire; et c'est en répétant qu'on ne m'entendrait pas que je suis devenue muette et invisible.

Or, en tant que femme, et comme future enseignante, je sais que plus jamais, je ne pourrai me taire et permettre à mes élèves, garçons ou filles, de croire que leur genre prédétermine leur avenir et qu'on peut les étiqueter en raison de stéréotypes dépassés. Je n'aurai plus le loisir de me tapir dans un coin et de sembler de glace, quand une femme affirme devant un large auditoire que « Nous, les femmes, on aime se faire remettre à notre place par notre mari », et de ne pas me faire remarquer par mon indignation quand, dans un milieu d'éducation, on tente de dénigrer des étudiantes qui s'offusquent contre des propos sexistes tenus en classe.

Je ne veux plus me taire, et laisser croire à tous ces jeunes (et moins jeunes!) messieurs qui m'envoient de gracieuses photos de leur viril membre de fer que je trouve leur acte sympathique, ou que de me faire appeler « Beubé » n'est pas dénigrant. Je ne peux plus permettre à ces enseignants qui, en classe, nous imposent des images mysogines, hétéronormatives ou stéréotypées, d'appeler leurs indignantes actions « de l'instruction ». Comme enseignante, j'ai fréquenté des milieux très respectueux des différences : comme étudiante, parfois moins. Je me suis rendu compte que, généralement, il suffit d'un individu pour imposer des visions malsaines des genres et du spectre de genres, et qu'une institution ne peut prendre la responsabilité entière de cet individu. Je veux pouvoir protéger garçons et filles des rôles qu'on leur impose toujours; je veux que les adolescents puissent pleurer et montrer leurs émotions, et que les adolescentes cessent d'être sexualisées et enfermées dans cette spirale infinie de critique corporelle. Je veux que nous osions, en tant que femmes, être fermes envers les hommes qui font des commentaires sur nos seins, et crier haut et fort contre le sexisme toujours présent dans les médias. Je veux l'utopie, la disparition de la masculinité toxique, l'égalité et la possibilité, pour tous, de devenir ce qu'ils veulent.

Je ne me tairai plus, quand vous me direz de le faire; je ne peux plus supporter que chacun de mes mots d'indignation soit perçu comme de l'émotivité, ou le syndrome du SPM dans toute son horreur. Je ne me laisserai plus dire que je suis grosse, idiote, ou que je ne comprends pas, et je ne vous laisserai plus crier contre toutes ces femmes qui, elles aussi, croient qu'elles ne peuvent se défendre contre vos paroles réductrices.

Je veux être comme Camylle, qui s'est fâchée contre cet homme deux fois plus massif qu'elle qui a osé la « catcaller ». Je veux être comme Aurélie, qui ne laissera jamais un homme lui dire quoi faire, sous simple prétexte de genre. Je veux être comme Alexandrine, qui sait défendre sa fière condition de femme, et comme Noémie, femme de sciences. Je veux être comme Maud, qui n'impose aucune étiquette, et comme Josée, Sylvie et Hélène, femmes de tête qui m'ont inspirée et qui m'apprennent chaque jour. Je voudrais ressembler à Charlotte, qui maintient ses opinions envers et contre tous, à Audrey, qui est aussi forte que n'importe quel homme, et à Camille, qui n'a jamais eu besoin du regard d'autrui pour définir sa perception d'elle-même.

Je veux être Lauriane, qui saura être une femme à sa façon.

Kristen Stewart tente d'imposer le retour de la queue de rat

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Très populaire dans les années 1980, la queue de rat est une coiffure qui depuis a été classifiée dans la case hautement indésirable. Alors quand Kristen Stewart icône de mode Chanel l'affiche sur le tapis rouge de Cannes, nous en restons sans voix ou presque. Est-ce le retour annoncé d'une tendance qu'on pensait enterrée à jamais?

Qu'est-ce que la coiffure queue de rat?

Pour commencer, il faut avoir une coupe courte, partout, à part une mèche, une seule, plus longue à l'arrière de la tête. Des déclinaisons peuvent même nous donner à voir une mèche qui descend entre le haut du crâne et la nuque (version plus spectaculaire).

La fameuse queue de rat pourra être tressée, bouclée, attachée... on peut alors tout imaginer. Rappelez-vous d'Eddy Murphy dans "Un prince à New York".

Voici la version 2018 selon Kristen Stewart

Une version tressée de la queue de rat

Oui ou non au retour de la queue de rat?

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15 plats québécois qui dégoûtent ou étonnent le reste du monde

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La gastronomie québécoise s'est vraiment peaufinée ces dernières années, mais on garde malgré tout nos petits plaisirs coupables et plats traditionnels... qui ne font pas l'unanimité à l'international.

Voyez les quinze mets d'ici dont nos voisins ne raffolent pas (ou trouvent sérieusement étranges).

Pâté chinois

Chips au ketchup

Langues de porc marinées

Hot chicken

Pets de soeur

Restants de pâte feuilletée #petsdesoeurs

Une publication partagée par Mélanie Miron (@melmiron) le

Poutine

Gibelotte

Pain-sandwich

Pudding chômeur

Pâté à la viande

Making of #tourtières

Une publication partagée par Julie Farah-Lajoie (@julieflajoie) le

Oreilles de crisse

Oreilles de crisse de porc Berkshire! 🤤 Durée limitée #oreillesdecrisse #bonprintemps

Une publication partagée par Pascal Hudon (@pascalleboucher) le

Cretons

Jambon à l'ananas

Fondue chinoise à la québécoise

Bouillon Canton, gros morceaux de légumes et fromage enrobé de viande tranchée ultra mince.

Queues de castor

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Magasiner pour la bonne cause

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Pour une 3e édition consécutive l'événement «En vogue avec Holt, Let's Bond» a accueilli ses invités chez Holt Renfrew lors d'une soirée magasinage caritative et de réseautage très stylée. Notre photographe était de la partie ce mercredi 9 mai au soir.

L'expérience exclusive Let's Bond a pour but de soutenir la cause de la santé mentale et les fondations de l'Hôpital Douglas et Jeunes en têtes. Avec l'organisation de cet événement (et du Bal Urbain), Let's Bond souhaite mettre la santé mentale au cœur des discussions et briser les tabous.

L'ensemble des profits de la soirée ainsi que 10% des ventes seront remis aux fondations partenaires.

À propos de Let's Bond

Let's Bond est un collectif de jeunes gens d'affaires montréalais qui croit fortement que l'union des forces peut mener à créer de grandes choses. Let's Bond a pour mission de créer des événements inoubliables dans le but d'entamer un dialogue entourant la santé mentale. Depuis 2011, elle a amassé plus de 1 000 000$, qui ont été directement remis à la Fondation Jeunes en tête et à la Fondation Douglas, pour la sensibilisation et la recherche.

Pour voir toutes les photos de la soirée dans la galerie ci-dessous

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Le mariage du prince Harry et de Meghan Markle... en lego!

Rappel de jouets de bain des marques Munchkin et P.K. Douglass

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Santé Canada a diffusé jeudi des avis de rappel pour deux modèles de jouets pour le bain qui présentent un risque d'étouffement.

Le jouet Waterpede de la marque Munchkin et un jouet en forme de homard de la marque P.K. Douglass présentent tous les deux des petites pièces qui peuvent se briser et se détacher.

Les enfants peuvent ensuite tenter de les avaler et risquent de s'étouffer.

Voici les détails concernant les deux modèles:

Jouet pour le bain Waterpede pour enfants de marque Munchkin

Environ 5500 exemplaires de ces jouets ont été vendus au Canada de février 2016 à janvier 2018.

Jouet pour l'eau en forme de homards de marque P.K. Douglass Inc.

Environ 680 produits rappelés ont été vendus au Canada de février 2017 à mai 2018.

Ce qu'il faut faire

Santé Canada recommande aux parents de retirer immédiatement les jouets de la portée des enfants et de les jeter ou de les retourner au magasin pour obtenir un remboursement.

Les consommateurs qui ont acheté le jouet de marque Munchkin peuvent communiquer directement avec la compagnie au numéro sans frais 1-877-242-3134 pour obtenir gratuitement un jouet d'une valeur équivalente.

Pourquoi le bloody Caesar nous remet-il sur le piton?

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Les bloody Caersar des restaurants L'Gros Lux.

Certains diront que c'est parce qu'il est salé, d'autres parce qu'il contient quelques vitamines dues au jus de tomates, mais le bloody Caesar est surtout populaires auprès de ceux qui veulent «combattre le feu par le feu» parce qu'il est réconfortant. Qu'on se le dise.

«À mon avis, c'est une arnaque ce truc-là, rigole la nutritionniste Annie Ferland, derrière le blogue Science & Fourchette. Il n'y a aucune explication logique ou scientifique derrière cette affirmation.»

Ce serait plutôt l'alcool qui vous aide à moins ressentir les symptômes de votre gueule de bois, et non le sel de céleri ou le jus de palourde. «Il ne faut pas oublier que l'alcool a des vertus analgésiques fort reconnues. Tu sais, on amputait les gens en les soûlant il y a 300 ans. On peut probablement se sentir sur le piton en buvant un bloody Caesar, mais c'est bien artificiel», affirme la nutritionniste.

En lendemain de veille ou pas, le 17 mai prochain sera une belle occasion de lever votre verre de bloody à l'occasion de la Journée nationale du Caesar. Une centaine de bars et restaurants canadiens fêteront le cocktail en proposant leurs versions originales. Au Québec, les succursales L'Gros Luxe, le bar Idole, Le Mal Nécessaire, les deux bars Le Lab et le Shaker dans la Capitale, entre autres, y participent cette année.

Vous pouvez sinon vous faire un bloody maison en suivant les trucs de pro du grand gagnant du concours «Meilleur Caesar en ville» ou suivez la recette du Caesar de l'année élaborée par l'ambassadeur de la journée nationale, l'acteur Dan Aykroyd.

« Hot Head »

Ingrédients :

  • 1 cuillère à thé d'ail haché frais
  • 1 cuillère à thé de sauce piquante Sriracha
  • Le jus frais de deux quartiers de lime pressés
  • 1,5 oz de vodka Crystal Head
  • 4 à 5 oz de Mott's Clamato

Préparation :

  • Garnir le bord d'un grand verre de sel d'assaisonnement épicé de votre choix.
  • Ajouter l'ail frais haché, la sauce piquante, le jus de lime et la vodka Crystal Head et combiner le tout.
  • Remplir le verre de glace et de Mott's Clamato et remuer.

VOIR AUSSI :

3 recettes pour le homard et 12 vins pour l'accompagner

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Bien que la saison ait officiellement débuté à la fin avril, plusieurs pêcheurs gaspésiens et néo-brunsickwois ont vu leur saison retardé à cause de la présence des glaces.

Malgré tout, les premiers homards arriveront en épiceries et chez les poissonniers, juste à temps pour que maman puisse s'en régaler!

Sans oublier que nous pourrons profiter des arrivages de ce crustacé pendant encore quelques semaines.

Mais avant de vous faire part de belles suggestions de vins d'accompagnement que j'ai pour vous, je désirerais vous livrer quelques recettes pour le homard, histoire de peut être l'apprêter quelque peu différemment.

Si malgré tout vous désirez tout de même le servir simplement accompagné de beurre à l'ail, de citron, ou d'une mayonnaise, je vous recommande d'y joindre un riz à l'ail au four. Vous y reviendrez, garanti!

Voir cette recette

Pour ce qui est des recettes pour le homard, je vous en propose trois ci-dessous qui sont faciles et rapides à faire.

Par la suite, un lien vous mènera à 12 vins de prix variés, lesquels mettront votre homard en valeur.

3 recettes pour le homard à essayer

Laquelle vous tente le plus?

Salade de homard

Homard thermidor

Spaghetti au homard

Pour voir ces 3 recettes

Qu'est-ce qu'on boit?

Il serait impensable pour ma part, de savourer l'un de ces plats, sans aucun vin pour l'accompagner.

Si l'on simplifie les choses, tout vin (blanc ou rosé) ayant de l'équilibre, de la droiture et des saveurs avec un minimum de persistance, risque de convenir à ce crustacé.

La première recette conviendra particulièrement bien aux vins # 1, 2, 3, 4, 10, 11 et 12.

La seconde recette se mariera bien avec les vins # 5, 6, 7, et 9.

La troisième sera à son meilleur avec les vins # 3, 5, 8, 10, 11 et 12.

Le lien qui suit vous mènera à 12 exemples sur lesquels vous pourrez vous baser.

Téléchargez la liste de ces vins

Afin de vous mettre un peu le vin à la bouche, voici 3 vins que vous retrouverez dans cette sélection:

Cuvée Prestige, Domaine Skouras, Péloponnèse, 2016, Grèce, 14,70$

Classic rosé, Mirabeau en Provence, 2017, France, 19,00$

Chardonnay Reserva, Terrazas de los Andes, 2016, Argentine, 20,00$

Bon appétit!

Ne manquez pas cette soirée!
Les 10 vins de votre été
Détails ici

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Vous avez besoin d’une tondeuse pour votre terrain escarpé?

La luxueuse maison de Patricia Paquin et Louis-François Marcotte est à vendre

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Les amateurs d'émission de cuisine la reconnaîtront sûrement. La spacieuse et très chic demeure rustique où Louis-François Marcotte enregistrait Signé M et où il vit avec sa conjointe Patricia Paquin et leurs enfants est à vendre.

Construite en 1786 et entièrement rénovée, la propriété située à Lachine - dans l'ouest de Montréal - est en vente à 2 298 000$.

Elle compte 5 chambres, 3 salles de bain ainsi qu'une salle d'eau et est équipée de trois foyers au gaz naturel, de planchers en bois torréfié, de murs de pierres, de poutres en bois apparentes et d'une cuisine de professionnel.

La terrasse munie d'une cuisine extérieure entièrement équipée donne sur le fleuve Saint-Laurent. Le terrain de 13 500 pieds carrés offre un accès direct à l'eau.

Le couple qui a récemment mis en vente leur maison de Saint-Hippolyte - où il s'était marié - se départit de cette deuxième résidence montréalaise afin de déménager sur la Rive-Sud dans une plus grande demeure qui nécessiterait beaucoup de travaux, selon TVA Nouvelles.

Voici les photos de leur maison de Lachine tirée de l'annonce duProprio :


Cancer pédiatrique: un test pour éviter les effets secondaires des traitements

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Un chercheur ayant conçu un test qui vérifie si les enfants sont vulnérables aux effets secondaires potentiellement mortels de trois médicaments de chimiothérapie se concentre maintenant sur cinq autres substances pour permettre aux parents et aux médecins d'avoir une discussion plus éclairée.

Bruce Carleton, de l'Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique, explique que les effets secondaires associés à ces cinq médicaments comprennent des maladies osseuses, une pancréatite, une anaphylaxie, des dommages aux nerfs des membres et une inflammation des muqueuses, ce qui pourrait notamment empêcher le patient d'avaler.

Le projet de quatre ans s'inscrit dans le cadre d'une étude de Génome Canada qui mènera notamment à la création d'une base de données publique que les chercheurs de partout dans le monde pourront consulter, explique M. Carleton.

Son collègue Colin Ross et lui ont déjà identifié les variantes génétiques associées à trois médicaments courants et qui peuvent entraîner une insuffisance cardiaque, une perte d'audition ou des problèmes de moelle osseuse, ce qui réduit la capacité de l'organisme à se défendre face aux infections.

Depuis deux ans, les patients soignés pour un cancer pédiatrique et vus par M. Carleton ont été soumis à un test génétique pour vérifier s'ils risquent de subir des effets secondaires indésirables.

M. Carleton aimerait que tous les enfants soignés pour un cancer à travers le pays puissent profiter d'une telle analyse génétique.

Les médicaments en question comprennent l'anthracycline, qui peut considérablement augmenter les chances de survivre à certains cancers, mais qui peut aussi entraîner une insuffisance cardiaque.

«Je pense qu'on pourrait entamer la discussion avant le début du traitement concernant ce que sont les effets secondaires indésirables, au lieu d'attendre qu'ils surviennent et dire: "Eh bien, ça se produit parfois", explique-t-il. Les parents me disent souvent qu'ils ont trouvé plus difficile de gérer les effets secondaires indésirables que les questions de survie, parce qu'ils n'y étaient pas préparés.»

M. Carleton et son équipe analysent plus de 6100 échantillons génétiques à la recherche des susceptibilités génétiques aux effets secondaires de ces cinq médicaments, un champ d'études de plus en plus important appelé pharmacogénomique.

Les analyses génétiques offrent aux oncologues l'information qui leur permettra de soupeser le pour et le contre de certains traitements au moment d'étudier les options qui s'offrent à eux, notamment en réduisant le dosage d'un médicament toxique ou en proposant autre traitement, a expliqué le chercheur.

«Parfois, les résultats sont rassurants, donc si on a besoin d'excéder la dose, le risque de toxicité est assez faible comparativement aux autres enfants», indique M. Carleton, qui enseigne aussi la pédiatrie à l'Université de la Colombie-Britannique.

Mieux comprendre les risques

Les parents doivent participer aux discussions concernant les traitements, poursuit-il.

«En leur donnant un moyen de mieux comprendre les risques pour leur enfant, on leur permet de dire: "Il n'y a pas que la survie, je veux aussi connaître les risques."»

Rory Nichols, la fille de Bethany Prokuda, est aujourd'hui âgée de quatre ans. Les médecins lui ont diagnostiqué une tumeur au coccyx quand elle n'avait que trois semaines. Une analyse génétique a découvert que le traitement qu'elle recevait risquait de lui causer des problèmes d'ouïe, notamment avec les sons "f", "s" et "th" en anglais. Mme Prokuda et son oncologue ont donc décidé de changer sa médication.

Le docteur Rod Rassekh, qui faisait partie de l'équipe ayant soigné Rory, estime que cette analyse génétique «a vraiment sauvé une bonne partie de son ouïe».

Il mentionne ensuite les parents d'un autre patient qui ont choisi de ne pas utiliser un médicament associé à des problèmes cardiaques, même si cela augmentait légèrement le risque de récidive.

«Donc je pense que ce test facilite une bonne discussion avec les familles, où on leur donne le pouvoir de prendre des décisions», affirme-t-il.

Le docteur Rassekh ajoute que tous les oncologues de l'Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique utilisent maintenant les analyses génétiques, après avoir surmonté leurs craintes initiales concernant ce que les parents et eux-mêmes feraient de cette information.

«Ça nous a permis d'avoir des discussions très franches concernant les effets secondaires et de tenir compte des valeurs des parents et de ce qui est important pour eux. Ce qu'ils considèrent être un risque élevé n'est pas nécessairement ce que moi je considère être un risque élevé en tant que médecin», précise-t-il.

Notre amour des grignotines tue les orang-outans

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Dr. Karmele Llano Sanchez leads a team in Indonesia that rescues and rehabilitates orangutans, many of which have fallen victim to forest destruction driven by consumers' desire for palm oil.

Dr Karmele Llano Sanchez exerçait la profession de vétérinaire, sur l'île indonésienne de Bornéo, lorsqu'elle fut appelée à soigner un orang-outan nommé Jojo. Cette expérience, dit Dr Sanchez, a changé sa vie à tout jamais.

Jojo était détenu comme animal de compagnie, et, quand Dr Sanchez l'a rencontré, il était enchaîné par la cheville, avec des déchets et des eaux usées tout autour de lui. Elle a brisé sa chaîne et lui a administré des médicaments. Cependant, ceci fait, elle s'est trouvée dans l'obligation de l'enchaîner à nouveau et de laisser Jojo là où il était, faute d'endroit où l'on pourrait prendre soin de lui.

Cette rencontre, survenue en 2008, l'a poussée à fonder un centre pour la réhabilitation des orangs-outans. Un an plus tard, elle est revenue chercher Jojo. Après des années de mauvais traitements et d'alimentation inadaptée, il était handicapé et devenu incapable de survivre à l'état sauvage, mais jamais plus il ne serait enchaîné.

Aujourd'hui, l'équipe du Dr Sanchez, de plus de 250 personnes, de la branche indonésienne de l'International Animal Rescue est aux avant-postes de l'effort visant à sauver et réhabiliter les orang-outans vulnérables de Bornéo avant — si possible —, de les relâcher dans la nature.

Baby orangutan Udin is rescued from the illegal wildlife pet trade.

Environ 87 pour cent des orang-outans du monde vivent sur l'île de Bornéo, bien que leur population ait diminué drastiquement durant les vingt dernières années. Certains protecteurs de l'environnement estiment que 150 000 ont disparu des forêts de l'île, au cours des 16 dernières années seulement, si bien qu'il en resterait à peine 70 000.

Certains des animaux sauvés par l'équipe du Dr Sanchez avaient été séparés de leurs mères pour être vendus illégalement comme animaux de compagnie, ou avaient passé toute leur vie emprisonnés ou enchaînés en captivité, comme Jojo. Mais un grand nombre d'entre eux s'étaient retrouvés perdus, affamés ou orphelins, en raison de la déforestation systématique de la forêt tropicale indonésienne, pour une denrée à bas prix, produite en masse, et dont peu de consommateurs ont même entendu parler: l'huile de palme.

Des collations aux produits de beauté, près de la moitié des articles emballés de nos épiceries contiennent de l'huile de palme. Pour produire cette huile, d'immenses pans de forêt tropicale, en Indonésie et dans le pays voisin, la Malaisie, sont défrichés chaque année. En plus d'être un facteur important dans les changements climatiques et de contribuer à l'exploitation de travailleurs précaires, cette déforestation détruit les habitats fragiles et bio-diversifiés dont dépendent des animaux comme les orang-outans — mais aussi les éléphants, les rhinocéros et les tigres.

Since the explosion in the use of palm oil in 2000, Borneo has lost 20,000 square miles of forest.

Alors que certaines marques affichent fièrement qu'elles utilisent de l'huile de palme durable — c'est-à-dire respectant certains critères environnementaux et certaines normes de travail — en réalité, une telle chose n'existe pas, dit Dr Sanchez.

«Durable ? Une monoculture ne peut tout simplement pas être durable», dit cette femme de 39 ans, en secouant la tête. «Peut-être que, si votre question portait sur une huile de palme plus écologique, alors là oui, ce serait possible. Mais, à l'heure actuelle, cela n'existe pas. »

Le travail qu'accomplissent Dr Sanchez et son équipe est ingrat, compliqué; il implique de rapprocher des entreprises, des autorités gouvernementales et des communautés dans un effort pour réintroduire des primates dans leur habitat naturel — même si ce n'est pas la priorité de tous les acteurs — et, idéalement, de faire en sorte que cet effort ne soit plus nécessaire. Dr Sanchez est catégorique sur le fait que, même si ce type de travail intersectoriel est ardu, il est vital, dans la mesure où les efforts pour la réhabilitation et la réintroduction, à eux seuls, ne sont pas une solution.

«C'est comme lorsque vous êtes malade et que vous prenez une aspirine — vous avez traité les symptômes, mais vous n'avez pas vraiment soigné le problème à la source. Vous pouvez traiter les symptômes indéfiniment, vous comprenez?», dit-elle.

«La solution, dit Dr Sanchez, réside dans la volonté du secteur privé de tenir compte de l'environnement, bien avant que commence tout déboisement, afin de garantir que l'habitat des orang-outans ne soit pas détruit. Alors que certaines entreprises ont réalisé qu'il est dans leur intérêt de rechercher des initiatives de développement plus durables, il y en a encore tellement qui ne s'en préoccupent tout simplement pas», affirme-t-elle.

Ensuite, se pose le problème des entreprises qui comptent sur International Animal Rescue pour les débarrasser des orang-outans après une déforestation. «C'est bien qu'elles nous appellent [lorsqu'elles ont besoin d'aide]», dit Dr Sanchez.

«Mais, d'un autre côté, jamais elles n'auraient dû déboiser une forêt où vivaient des orang-outans en premier lieu. Nous voulons protéger les animaux, nous voulons sauver les animaux, mais nous ne voulons pas jouer le rôle de service de nettoyage pour ces entreprises, vous comprenez? "Je déboise tout puis je tombe sur quelques orang-outans, donc vous venez et vous les emmenez. Problème résolu!"»

Gatot, a young orphan, receives medical care. Ninety-five percent of animals arriving at the International Animal Rescue's Indonesia center are orphaned orangutan babies.

Les individus, eux-aussi, ont un rôle à jouer — « vous savez, nous, les gens normaux, dit Dr Sanchez, en tant que consommateurs d'huile de palme, nous devons tous faire pression sur le secteur privé pour qu'il fasse ce qui est juste, parce que nous en avons le pouvoir. Si nous arrêtons de consommer des produits, tout le système s'effondre.»

Nous ne pouvons pas continuer à consommer autant que nous le faisons actuellement et prétendre que nous allons protéger l'environnement, c'est juste impossible», affirme-t-elle. «Le chocolat, les crèmes glacées, les collations, les Doritos — vous savez, vous pouvez vivre sans.»

Dr Sanchez pense qu'il est encore temps de faire quelque chose, si nous agissons vite. «Nous appartenons à cette génération de personnes qui voit cette extinction massive des espèces sauvages se produire», dit-elle. «C'est en quelque sorte à portée de main et nous avons la possibilité de faire quelque chose pour y remédier. Peut-être que ce sera trop tard pour la prochaine génération. C'est une grande responsabilité. Mais c'est aussi une bonne sensation. C'est ce qui nous fait aller de l'avant.»

After humans, orangutan babies have the longest childhood in the natural world.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost Canada a été traduit de l'anglais.

Le Mayfair lance un nouveau menu succulent

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Le Mayfair n'est pas que festif, il est gourmand aussi. Et il l'a prouvé encore une fois en lançant son nouveau menu ce jeudi 10 mai.

Signé Marie-Eve Lemieux, il est varié, soigné et abordable. On retrouve par exemple de réconfortantes Cavatelli maison (notre coup de coeur), un délicieux gravlax de saumon, et du chou-fleur frit aux saveurs moyen-orientales servi avec noix de cajou, pomme grenade et labneh de lime.

On est un peu moins fan des fish n' chips et de la salade de papaye, par contre, ici apprêtée différemment avec un goût très présent de sésame. Mais tout a l'air très appétissant.

Côté cocktail, on ne se trompe jamais en allant au Mayfair. La carte créée par Lawrence Picard est inventive, rafraîchissante et donne l'eau à la bouche. On veut tout commander en commençant par notre coup de coeur : le surprenant et bien équilibré Saffron sour (bourbon, sirop de pêche blanche et fruit de la passion, amers d'angostura, blanc d'oeuf).

Découvrez toutes les nouvelles assiettes présentées à la soirée de lancement (et tous les beaux gourmands sur place) :

Mayfair

451 Rue Rachel Est, Montréal

Les Québécoises ont besoin d’un meilleur accès aux soins spécialisés

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Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer de l'ovaire sont confrontées à des options limitées. Peu de nouveaux traitements ont été mis à la disposition des patientes depuis les années 90, et les 50 dernières années ont apporté très peu de réponses aux femmes touchées par la maladie. Les faibles taux de survie ont persisté, faisant du cancer de l'ovaire le cancer féminin le plus mortel.

Au Québec, ce portrait peu encourageant est accentué par la disponibilité limitée des spécialistes.

Des études ont révélé que les femmes atteintes du cancer de l'ovaire vivent plus longtemps lorsqu'elles sont suivies par un gynécologue oncologue, un professionnel de la santé spécialisé dans le traitement du cancer de l'ovaire et d'autres cancers gynécologiques. Les patientes qui reçoivent une intervention chirurgicale réalisée par un gynécologue oncologue sont plus susceptibles de faire l'objet d'interventions médicales exhaustives et de recevoir les meilleurs traitements existants. Elles profitent également des vastes connaissances de leur gynécologue oncologue sur les autres enjeux relatifs au cancer de l'ovaire, notamment sur son impact sur la santé reproductive et sexuelle.

Or, bien des femmes qui ont vécu personnellement la maladie s'entendent pour dire que consulter un spécialiste peut s'avérer complexe. Les gynécologues oncologues de la province pratiquent presque tous à Montréal, à Québec et à Sherbrooke, de sorte que les femmes qui vivent dans le nord et l'est du Québec doivent souvent parcourir des distances importantes pour voir un spécialiste. De plus, les limites de temps opératoire imposées aux chirurgiens québécois peuvent retarder l'intervention initiale et le début des traitements.

Le gouvernement doit considérer le cancer de l'ovaire comme une priorité en matière de santé des femmes et passer à l'action en améliorant l'accès aux soins spécialisés.

Le gouvernement doit considérer le cancer de l'ovaire comme une priorité en matière de santé des femmes et passer à l'action en améliorant l'accès aux soins spécialisés. À cette fin, Cancer de l'ovaire Canada invite l'Assemblée nationale du Québec à aborder les lacunes du système avec tous les partis.

Iniquité du financement de la recherche

Même si les taux de mortalité du cancer de l'ovaire sont parmi les plus élevés de tous les cancers, le financement fédéral de la recherche sur cette maladie est extrêmement faible en comparaison aux autres cancers, ce qui a considérablement ralenti les progrès scientifiques jusqu'à ce jour.

La majorité des Québécois et des Québécoises jugent qu'une approche concertée est essentielle. Un sondage récent révèle que 78% des répondants de la province estiment que le gouvernement fédéral doit augmenter les investissements dans la recherche sur le cancer de l'ovaire afin que les percées réalisées dans le traitement d'autres cancers, comme ceux du sein et de la prostate, puissent également se produire pour le cancer de l'ovaire.

Chaque jour où cette situation perdure, une autre Québécoise succombe au cancer de l'ovaire. Les progrès se font attendre depuis trop longtemps et le soutien du gouvernement est pressant.

Pourriez-vous donner cinq minutes de votre temps pour vous prononcer sur cet important enjeu de santé des femmes? Pour envoyer une lettre à vos représentants élus ou en savoir plus, rendez-vous à ovairecanada.org.

Quel est le secret d'un bon selfie?

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