Les acrobaties sur une table, pas une bonne idée!
Malchanceux en amour? C'est peut-être la faute de l'alcool
Dans ces jeunes années, l'écrivaine Zara Barrie a presque toujours pris un verre avant un premier rendez-vous. Grâce à cette petite dose de courage, la conversation allait bon train. Mais il y avait aussi un inconvénient indéniable.
«Boire me donne un sentiment trompeur de complicité avec l'autre personne», a déclaré Barie au HuffPost. «Si j'ai bu deux coupes de champagne, je peux sentir une chimie avec n'importe qui.»
Barrie, rédactrice à Elite Daily, a finalement essayé d'aller à ses rendez-vous sans boire d'alcool. Peu de temps après, elle a rencontré sa fiancée.
«En regardant en arrière, je me rends compte que j'ai tellement bu au début de la vingtaine parce que je passais du temps avec des gens avec qui je n'avais rien en commun. L'alcool a masqué cette triste réalité», a-t-elle raconté. «Je me suis dit que j'avais besoin d'un verre pendant si longtemps que je le croyais dur comme fer.»
L'histoire de Barrie vous semble probablement très familière si vous êtes célibataire. Un sondage de Plenty of Fish a révélé que 36,4% des célibataires boivent avant de sortir, et que 48,9% boivent durant le rendez-vous, avec en moyenne deux ou trois verres au cours d'une soirée.
Le même sondage a révélé que 19,1% des hommes se sont saoulés lors d'un premier rendez-vous contre 16,8% des femmes.
Ce n'est pas surprenant que les rencontres amoureuses soient associées étroitement à la prise d'alcool. La plupart des célibataires se rencontrent par l'entremise d'une application, la perspective d'apprendre à connaître quelqu'un basé sur une courte biographie et quatre ou cinq photos peut provoquer un peu d'angoisse et de fébrilité.
C'est particulièrement vrai pour les femmes, a confirmé Patricia O'Gorman, une psychologue de New York et auteure de The Girly Thoughts 10-Day Detox Plan: The Resilient Woman's Guide To Saying 'No' To Negative Self-Talk And 'Yes' To Personal Power.
«Les femmes intériorisent les normes de la société et se réprimandent si elles ne les accomplissent pas», a déclaré O'Gorman. «Lors d'une rencontre amoureuse, une femme se sent souvent obligée d'être plus détendue qu'elle ne l'est, encore plus sexuelle qu'elle ne le voudrait. Ces pressions peuvent l'encourager à boire avant un rendez-vous pour y parvenir.»
«Je souffre d'anxiété et parfois les "et si"avant un rendez-vous sont difficile à gérer», a déclaré Caitlin Cecil, une coach de vie de Houston qui a écrit sur les rencontres amoureuses dans la sobriété. «Boire un peu avant un rendez-vous me rendait un peu plus spontanée et plus amusante.»
Cecil a constaté que la nervosité était inévitable, peu importe le nombre de verres bus au préalable.
«Maintenant, je sais que la nervosité fait partie du jeu, que je sois sobre ou pas, mais il m'a fallu du temps pour accepter que Caitlin, sobre et naturelle, soit aussi amusante et excitante que la Caitlin après un verre ou deux» a-t-elle précisé.
Selon, O'Gorman, la solution n'est pas nécessairement la sobriété pure et simple, mais simplement de savoir que vous serez probablement plus apte à choisir de meilleurs partenaires en ayant les idées un peu plus claires.
Ce texte initialement publié sur le HuffPost Canada a été traduit de l'anglais.
La ligne de lingerie de Rihanna vise toutes les femmes
Ça y est la ligne de lingerie de Rihanna est Savage x Fenty est enfin disponible, elle était annoncée depuis plusieurs semaines déjà! Et aucun doute sur la question, elle s'adresse à toutes les morphologies du XS au XXXL ainsi qu'à toutes les nuances de peau (des "nude" qui conviendront aux peaux blanches et noires) à l'exemple de sa gamme de maquillage.
Le mot d'ordre pour Riri: inclusion.
La star a partagé photos et vidéos d'elle sur son compte Instagram, vêtue de ses modèles fraîchement offerts à tous. Au programme: une centaine de pièces comprenant soutien-gorges, culottes, bandeaux, tantôt quasi invisibles pour disparaître sous les vêtements, parfois agrémentés de dentelles pour se dévoiler sexy, très sexy.
« Les femmes devraient pouvoir porter la lingerie qu'elles désirent et pour leur propre plaisir» - a déclaré Rihanna à Vogue. «Je souhaite encourager les femmes à avoir confiance en elles en affichant la lingerie sous un autre jour.»
Il est question avant toute chose d'assumer sa féminité, ses courbes, ses pleins et creux, et de jouer avec. La meilleure manière de s'accepter est de commencer par s'aimer et la lingerie y participe grandement.
Un modèle pour le moins sexy
Des pièces "nude" étudiées pour toutes les carnations.
Pour découvrir tous les modèles de cette ligne, c'est ici.
L’assiette québécoise: plus éclatée, plus locale et plus écologique
Bios, équitables, locaux, fonctionnels (« alicaments »), en vrac ou emballés, les aliments multiplient leurs formes pour composer une assiette plus éclatée qu'auparavant. Aujourd'hui, le consommateur se soucie de sa santé et y ajoute des pratiques alimentaires qui respectent des valeurs sociales et environnementales.
Et l'aspect médiatique joue aussi : « lorsqu'une vedette comme Ricardo parle du piment d'Espelette dans une recette, les consommateurs vont en vouloir et les marchands doivent alors s'en procurer rapidement », confirme la professeure au Département de marketing et chercheuse associée à l'Observatoire ESG UQAM en consommation responsable, Francine Rodier, qui participait cette semaine à un colloque de l'Acfas sur les reconfigurations de l'espace marchand.
Cette évolution se présente toutefois à géométrie variable suivant les pays. La Pr Rodier s'est intéressée à l'Allemagne, la France, l'Italie et le Royaume-Uni. Elle constate que les aliments fonctionnels sont en croissance dans ce dernier pays tandis qu'en Italie, c'est plus le bio qui a la cote et qu'en France, il y a une montée de préoccupations autour de la consommation de viande. « Cela va de pair avec le souci de protection des animaux et la tendance végétarisme très forte, tout comme le sans sucre ou le sans gluten ».
L'évolution des pratiques alimentaires au Québec ressemble selon elle à celle du fromage mozzarella : « il y a eu tout d'abord la bufflonne, pour les connaisseurs, puis celle de vache, plus populaire. Elle est arrivée au Québec avec une consistance hachée, puis elle a pris de la fermeté, diverses formes et diverses provenances. Ce fromage a fait du chemin, tout comme les légumes et les autres aliments », détaille la chercheuse.
Elle note aussi une évolution en faveur de l'alimentation locale. Les aliments du Québec sont plus connus, mieux identifiés. Les consommateurs deviennent conscients de la provenance de ce qu'ils consomment et de l'impact sur l'environnement du circuit de distribution alimentaire.
Le local dans l'assiette
Mais il reste bien du chemin à faire. Manger local à Québec, une réalité ou une utopie ? s'interroge l'étudiante à la maîtrise en agroéconomie de l'Université Laval, Marilou Des Roberts, qui participait à un second colloque de l'Acfas qui, outre l'alimentation, portait sur la gouvernance, la gestion du développement durable, les modalités de participation et la vie démocratique.
Sa recherche montre que 38 % des besoins caloriques des consommateurs de la région de Québec sont comblés par la production alimentaire régionale, lorsqu'on limite la part de l'élevage dans le calcul — ce qui est similaire à la moyenne provinciale de 35 %.
La jeune chercheuse participe au projet REPSAQ — un partenariat alliant recherche et mobilisation des connaissances autour de l'alimentation durable pour la Communauté métropolitaine de Québec (CMQ), qui regroupe 800 000 habitants au sein de 28 municipalités des deux rives du Saint-Laurent.
Pour nourrir tout ce monde, la CMQ repose sur un bassin de production alimentaire de près de 34 000 km2. On y trouve beaucoup d'élevage, porcs en tête, ainsi que du sirop d'érable, mais peu de production de légumes. Aussi, beaucoup de production pour les animaux : « dans notre région, où les animaux d'élevage dominent, on produit 6 fois plus de calories pour les animaux que pour les humains », relève la chercheuse.
Ce qu'on produit dans la région n'est pas toujours ce qu'on consomme localement. Par exemple, la consommation de viande de la population varie, car elle ne se cantonne pas à la viande de porc locale, mais touche aussi la viande d'agneau du Centre-du-Québec ou le bœuf de la Montérégie. « La production porcine locale couvre 980 % de la consommation de viande de la CMQ ou 358 % de celle de la province, si les gens ne mangeaient que du porc, et elle se destine majoritairement au marché d'exportation », convient la chercheuse.
Cette inadéquation entre production et consommation locale résulte de différents facteurs : un consommateur habitué à une disponibilité à l'année de nombreux fruits et légumes d'ailleurs, un problème de saisonnalité des aliments québécois — impossible de consommer nos fraises toute l'année — et la particularité du marché de distribution.
« Les pommes de l'île d'Orléans se dirigent en grande majorité vers les centres de distribution de Montréal avant d'être redistribuées dans les marchés régionaux », rappelle Marilou Des Roberts. Elle accueille la nouvelle politique bio-alimentaire du Québec avec beaucoup d'espoir, car elle soutiendra mieux la production locale.
Mais cela risque de ne pas suffire. « Cela passe aussi par l'éducation. Nous avons des produits de meilleure qualité, mais si les gens ne les connaissent pas ou pensent, à tort, qu'ils sont chers, ils vont les bouder », relève la chercheuse.
Les nouvelles manières de se mettre à table
Francine Rodier note également un éclatement des manières de manger, liées autant aux valeurs environnementales qu'aux innovations technologiques : zéro-déchets, les « aliments moches », l'achat en ligne et la livraison collaborative — le « Uber de la livraison » — ainsi que les boîtes d'aliments réunis pour faire une recette (Boîte du chef). L'intelligence artificielle rend les choses encore plus simples : « Il n'y a qu'à penser à l'Amazon Go. On pourrait imaginer une épicerie du futur vide de monde où la commande se passe avec le cellulaire », ajoute la chercheuse.
Dans ce marché virtuel, le consommateur pourra de plus se renseigner sur la provenance des produits, les conditions de culture, de cueillette et de distribution, la distance entre le champ et sa maison et bien d'autres choses encore. Avant de planter sa fourchette dans son légume, il prendra alors des décisions alimentaires plus éclairées en fonction de ses valeurs, des pratiques... et également de la dernière mode culinaire !
Les admirateurs torontois de la famille royale ont adopté Meghan Markle
Une contravention pour une infraction routière mineure et une soudaine abondance de gros véhicules noirs ont été, pour Tiffany Babiak, les premiers indices indiquant que quelque chose de différent se passait dans son quartier généralement tranquille.
Puis, elle a compris. Les rumeurs voulaient que le prince Harry fréquente l'actrice Meghan Markle, qui résidait à quelques coins de rue de chez elle, et la sécurité avait par conséquent été renforcée dans le secteur.
Alors que les rumeurs de relation royale se propageaient, les médias ont commencé à scruter le quartier familial situé près du campus de l'Université de Toronto.
Les médias britanniques étaient constamment à la recherche de la moindre miette d'information sur la vie amoureuse du prince Harry, mais le couple princier n'avait pas à s'en faire, assure Mme Babiak. La Torontoise affirme en effet que le voisinage s'est montré solidaire et a refusé de raconter quoi que ce soit au sujet du couple afin qu'il puisse profiter de la plus grande intimité possible.
«Tout le monde est devenu très protecteur à son égard, parce que c'était notre quartier et nous ne voulions pas voir ces paparazzis se promener et harceler tout le monde», explique Mme Babiak.
Meghan Markle, qui doit épouser le prince Harry le 19 mai, a beau être une actrice californienne, elle est également une Canadienne honoraire aux yeux de plusieurs fans qui l'ont suivie pendant sept saisons dans la série «Suits», tournée à Toronto.
«Nous l'avons adoptée, en quelque sorte, lance Mme Babiak. En ce qui me concerne, elle est davantage canadienne qu'américaine.»
Et il semble que Meghan Markle a elle aussi adopté Toronto: elle a fait du bénévolat auprès des démunis, a pris des vacances avec des collègues acteurs pendant l'Action de grâce canadienne, a fréquenté les endroits les plus en vue du centre-ville et s'est tournée vers les médias sociaux pour faire connaître ses restaurants favoris de Toronto, note le biographe Andrew Morton dans le livre «Meghan: A Hollywood Princess».
En 2016, elle était devenue le visage de deux institutions canadiennes: le détaillant Reitmans, pour lequel elle a créé une collection de vêtements, et l'oeuvre de bienfaisance chrétienne Vision mondiale Canada, avec laquelle elle a fait la promotion de l'aide aux pays en développement.
L'observatrice de la famille royale Patricia Treble affirme que les liens de Meghan Markle avec Toronto permettaient de présenter l'image d'une ville jeune, à la mode et pleine de glamour.
Elle a également permis au monde de découvrir des designers canadiens méconnus en portant leurs vêtements à l'étranger, notamment des manteaux signés Mackage et Line the Label, et des tenues créées par Erdem, Greta Constantine et Babaton.
«Elle a vraiment adopté la mode d'ici. Elle a porté beaucoup de créations d'ici (...) et elle les a portées au Royaume-Uni, ce qui a eu beaucoup d'impact sur le marché de la mode canadien. Un très grand impact», estime Mme Treble, une rédactrice et chercheuse pigiste, qui tient également le blogue writeroyalty.com.
Son influence grandissante a toutefois coïncidé avec des difficultés dans sa vie personnelle, écrit M. Morton, qui précise que Meghan Markle a épousé le producteur Trevor Engelson en septembre 2011 avant de tourner la deuxième saison de «Suits».
Ce mariage s'est terminé en 2013, et a été suivi d'une relation de deux ans avec le chef torontois Cory Vitiello.
Les Jeux Invictus
Hilda Andrade affirme qu'elle suivait assidûment les publications de Meghan Markle sur les réseaux sociaux et qu'elle avait été ravie de la voir collaborer avec Reitmans.
«Je crois qu'elle y a apporté de la fraîcheur et de belles couleurs. Il y avait aussi des vêtements pour les personnes un peu plus rondes, comme moi, et qui étaient ajustés correctement, ce qui était bien», explique la femme qui travaille à l'Université de Toronto, et qui admet qu'elle gardait l'oeil ouvert dans l'espoir d'apercevoir l'actrice.
«Elle a apporté de bonnes vibrations dans le secteur et à l'époque, les gens ne parlaient que de Meghan.»
Le tout a gagné en intensité lorsque le prince Harry a confirmé leur relation, en novembre 2016.
Au moment où Toronto a accueilli les Jeux Invictus, parrainés par le prince Harry, en septembre 2017, «les choses ont explosé», raconte Mme Treble.
«Parce qu'il a été ici pendant une longue période et que la presse royale britannique tout entière était sur place, donc tout le monde attendait et se demandait s'ils allaient sortir en public. Allaient-ils être vus ensemble? Et lorsqu'ils l'ont été, c'est devenu une nouvelle qui a rapidement fait le tour du monde», ajoute-t-elle.
«Je crois que ce qui a pris tout le monde par surprise a été la rapidité avec laquelle cette relation s'est développée, la rapidité avec laquelle ils ont annoncé leurs fiançailles.»
Même la petite Zelda Armstrong, 10 ans, a été prise par la fièvre royale et se souvient de la fois, le printemps dernier, où elle marchait vers un parc dans le quartier Annex et qu'elle a cru apercevoir le prince.
L'écolière raconte que son amie et elle ont pris un moment pour répéter leurs révérences (son amie a également pris le temps de changer ses chaussures pour des souliers à talons hauts) avant de se précipiter vers le parc. Malheureusement, il avait déjà quitté les lieux.
«Il a les cheveux roux comme moi, souligne Zelda Armstrong. Je trouve que c'est intéressant, ce que portent les membres de la famille royale, et j'ai aussi vu une vidéo sur YouTube sur la famille royale et leurs enfants.»
Mme Babiak estime que la ville a eu un regain d'énergie et qu'elle profite encore du passage de Meghan Markle dans la métropole.
«Même ceux qui ne voulaient pas l'admettre étaient plutôt excités. Ça rend la vie un peu plus intéressante. Vous ne savez jamais sur qui vous pouvez tomber lorsque vous faites une promenade.»
À voir aussi:
Bianca Gervais partage une première photo de son bébé
Il y a peu de temps, Bianca Gervais et Sébastien Diaz devenaient parents pour une deuxième fois.
Pour la première fois, Bianca Gervais a partagé une photo de la petite Bowie Gervais-Diaz sur Instagram.
« Merci à ma petite sœur @ggervais de m'avoir accompagnée chez le pédiatre aujourd'hui », a écrit la mère.
« Les mains pleines d'un bébé tout neuf...et à ses pieds : une héroïne en position d'attaque. Te dire à quel point j'aime cette photo ». a-t-elle ajouté.
Voici comment rendre le missionnaire plus excitant pour elle
Les bonnes choses de la vie peuvent toujours bénéficier de certaines améliorations, même dans la chambre à coucher.
Votre partenaire et vous appréciez sûrement la classique position du missionnaire en raison de l'intimité qui en découle. Saviez-vous qu'il est possible d'en améliorer les sensations tout en gardant cette intimité souhaitée? Les sexologues s'accordent tous sur un point: une légère modification peut nettement enrichir l'expérience de cette position.
La «technique de l'alignement coïtal» est une version modifiée de la position du missionnaire, où l'homme se positionne un pouce ou deux plus haut de sorte que la base du pénis frotte contre le clitoris de sa partenaire.
Voici un petit support visuel:

Dans une étude publiée dans le Journal of Sex and Marital Therapy au sujet des femmes qui n'atteignent pas l'orgasme avec cette position, les personnes qui ont adopté la «technique de l'alignement coïtal» ont noté une augmentation de 56% dans la fréquence de leur orgasme.
Cette technique change la donne puisque la plupart des femmes ont besoin d'une stimulation clitoridienne pour atteindre l'orgasme, a expliqué Megan Fleming, psychologue et sexologue à New York. La pénétration ne fait donc pas toujours l'affaire.
«Environ les deux tiers des femmes n'ont pas d'orgasme lors de la pénétration», a déclaré Fleming au HuffPost États-Unis. «La technique de l'alignement coïtal offre une pression directe qui procure aux femmes une stimulation clitoridienne supplémentaire.»
Alors, comment y arriver?
Sadie Allison, sexologue et auteure de Ride 'Em Cowgirl! Sex Position Secrets for Better Bucking, nous a donné un aperçu:
«Débutez avec la position traditionnelle du missionnaire, mais avec un oreiller sous les hanches de la femme, pour modifier l'angle du bassin. »
«Après la pénétration, déplacez votre corps de plusieurs centimètres vers le haut, en vous positionnant de sorte que votre bassin soit directement au-dessus du sien», a-t-elle expliqué.
Selon Lori Buckley, auteure de 21 Decisions for Great Sex and A Happy Relationship, il y a un avantage pour l'homme aussi.
«Cela peut aider les hommes à prendre plus leur temps, car ils ne ressentent pas la même excitation que si c'était une poussée rapide et profonde», a déclaré Buckley.
C'est gagnant pour tout le monde!
Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l'anglais.
Les 3 applications que les amateurs de bière doivent avoir sur leur cellulaire maintenant

Êtes-vous à la recherche d'un nouveau pub à découvrir? Avez-vous de la difficulté à vous rappeler le goût et le nom étrange de la bière que vous avez bue un soir d'été sur une terrasse du Plateau? Connaissez-vous la différence entre une «ale» et une «lager»?
Dans le vaste monde de la bière, il y en a pour tous les goûts. Que ce soit de la blanche surette aux fruits qui se déguste devant un coucher de soleil sur une terrasse à la brune caramélisée à siroter entre amis un frisquet soir d'automne, on trouve toujours chaussure à son pied.
Mais comme c'est, justement, un vaste monde, il est souvent difficile de s'y retrouver. Heureusement pour nous, des passionnés de houblon ont concocté des applications mobiles pour nous faciliter la tâche.
Le HuffPost Québec vous en propose trois gratuites qui ont su nous charmer.
1. Untappd (***1/2)
Cette application est parfaite pour prendre en note les bières que vous avez prises lors d'une sortie ou à la maison. Il est possible de chercher une bière dans un moteur de recherche intégré à l'éventail élargi de même que par analyse du code-barre. Elle propose certaines étiquettes selon les bières analysées (sucrée, café, amère, etc.) et permet d'entrer un commentaire personnel.
Mais ce n'est pas tout. Elle permet aux amateurs de se connecter entre eux et de connaître les goûts et les évaluations des utilisateurs. Elle permet d'ailleurs de séparer les évaluations de ses «amis» de celles des autres utilisateurs en général. Une fonction qu'on aime bien puisqu'il est intéressant de connaître les goûts de nos proches.
Un système de récompenses par médaillon rend également l'expérience intéressante.
Point négatif: l'application n'est disponible qu'en anglais. Si l'anglais vous cause problème, l'application Pint Please! (malgré son nom anglais) comblera presque les mêmes fonctions, en plus de proposer un joli graphisme. Cependant, il n'est pas possible de poser des étiquettes sur les bières testées, il faut remplir un commentaire à la main.
2. 42 Bières (***)
Vous êtes à la recherche d'un endroit pour aller boire une bonne bière? Le blogueur derrière 42 Bières, Sébastien Leclerc Lavallée, a pensé à vous. Voici une application toute simple: elle ne fait que répertorier les pubs et autres brasseries à proximité pour aller déguster une bonne «broue». Sans flafla, mais très pratique.
3. BJCP 2015 Beer Styles (**1/2)
Cette application vise un public averti ou encore qui se questionne sur le merveilleux monde de la bière. Attention, cette application est en fait le guide créé par Beer Judge Certification Program en 2015 pour évaluer une bière appartient à quel genre, selon quel pays et les ingrédients utilisés. Bref, c'est le genre d'application pour les mordus qui veulent connaître les différences entre une ale et une lager, ou encore ce qu'est une IPA.
Malheureusement, le guide n'est disponible qu'en anglais. De plus, le rendu graphique laisse quelque peu à désirer, ce qui rend la lecture plus lourde et sérieuse que ludique. BJCP 2015 Beer Styles est disponible sur Google Play, alors que BJCP Styles est disponible dans l'Apple Store.
Super maman, Super Woman et super débordée

Ma chum de fille m'a offert un t-shirt avec cette inscription en me disant : « c'est en plein toi ça! » Oui, c'est vrai. Mais en même temps, ça colle à pratiquement toutes les mamans.
Parce qu'être femme et, surtout, être mère ce n'est pas seulement avoir un hamster qui tourne dans sa roulette entre nos deux oreilles toute la journée. C'est en avoir quinze. Et ils sont hyperactifs, les hamsters. Ils tournent dans leur roulette vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. On pense à tout, tout le temps. Et c'est épuisant. Moi, mes quinze hamsters hyperactifs, je les balancerais volontiers chez la voisine qui n'a pas d'enfant et qui passe le plus clair de son temps à publier des photos de son chat sur Facebook.
Oui, être maman, c'est un magnifique cadeau de la vie. Mais ce n'est pas tout rose.
Mamans sereines et détendues, ne me lancez pas de tomates. Je vais brosser ici un tableau un peu cafardeux, mais plutôt juste de notre réalité.
Soyons honnêtes : la société a beau évoluer, certaines choses ne changent pas.
Soyons honnêtes : la société a beau évoluer, certaines choses ne changent pas. Oui, nos hommes prennent une place de plus en plus active dans l'organigramme familial. Les choses ont bien changé depuis le temps de nos arrières grands-mères. Mais encore aujourd'hui, la charge de responsabilités des femmes au cœur de la famille est souvent plus lourde que celle des hommes.
Être maman, c'est être multitâches : infirmière, éducatrice, organisatrice d'événements, amie, animatrice, psychologue, styliste, secrétaire, cuisinière, comptable, chauffeur, agent de sécurité, assistante personnelle, femme de ménage, etc.
C'est accomplir une multitude de tâches qui, dans une entreprise, seraient accomplies par au moins douze personnes.
C'est être sur appel tous les jours, toutes les nuits, jusqu'à la fin de sa vie.
C'est passer 20 minutes à se maquiller le matin pour essayer de cacher les cernes sous ses yeux épuisés par une nuit blanche à s'occuper du bébé qui ne voulait pas dormir. Boire 6 cafés pour arriver à fonctionner toute la journée malgré la fatigue qui se fait sentir. Planifier le souper. Passer à l'épicerie après le travail chercher le nécessaire. Faire une ou deux brassées de lavage. Rappeler aux enfants de ramasser leurs jouets. Les aider à faire leurs devoirs. S'assurer que le plus jeune n'oublie pas de se laver les dents avant d'aller se coucher. Préparer les lunchs pour demain. Payer des factures. Plier et ranger le linge avant d'aller dormir.
Une fois la tête sur l'oreiller, repenser aux événements de la journée et se faire une liste mentale des choses à faire le lendemain : accompagner sa maman chez le médecin, prendre rendez-vous avec le garage pour changer les pneus de la voiture, commencer à préparer la fête d'anniversaire de la plus vieille.
S'endormir enfin, mais se faire réveiller une heure plus tard par une envie de pipi. S'encastrer un bloc lego entre les orteils en allant à la salle de bain dans le noir. Retourner se coucher en boitant et en se demandant c'était quoi cette idée de fou de faire des enfants?
Se réveiller le lendemain pour récupérer la liste mentale préparée pendant la nuit. Revoir la liste, y ajouter des notes, se créer des rappels.
Accumuler une charge mentale.
La charge mentale... Ce gros sac à dos rempli de grosses pierres qu'on traîne partout et qu'on ne peut jamais déposer pour prendre une pause. C'est lourd, ça brise le dos, ça use...
Être maman, c'est trop souvent manquer de temps et d'énergie pour faire les choses qu'on aimait tellement faire «avant» : lire un bon livre, écouter un bon film, magasiner, sortir avec ses amies de fille.
Être maman, c'est faire preuve de résilience. C'est s'oublier pour faire passer le bien-être de ses enfants avant le sien. C'est entreposer une partie de son soi-même pendant des lustres, en espérant pouvoir ressortir sa partie remisée avant qu'elle ne disparaisse sous des années de poussière.
Être maman, c'est grand, mais combien exigeant...
Alors...
Toi, la maman à la maison au bout du rouleau, qui se sent coupable d'avoir parfois envie de vendre tes enfants sur Kijiji, tu es extraordinaire, n'en doutes jamais.
Toi, la maman monoparentale qui fait chaque mois la multiplication des pains pour nourrir ta marmaille et qui arrive, on ne sait trop comment, à remplir ton double rôle de maman et de papa, tu es exceptionnelle, ne l'oublies jamais.
Toi, la maman aidante qui prend soin de ton enfant handicapé ou malade, tu es inspirante, ne l'oublies surtout pas.
Toi, la maman super débordée qui fait chaque jour de son mieux, mais qui doute parfois, n'oublies jamais que tes petites erreurs sont vite effacées par le grand amour que tu donnes sans compter à ta famille.
Et toi, l'enfant qui sait que ta maman sera toujours là pour toi chaque fois que la vie te fera une jambette, fais-la sentir spéciale et montre-lui que tu l'aimes à chaque occasion que tu as de le faire.
Et toi, le conjoint qui a la chance d'avoir cette femme extraordinaire à tes côtés dans les bons et moins bons moments du quotidien, prends soin d'elle chaque jour que la vie te donne.
Parce que la journée de la fête des Mères, c'est une belle occasion pour les combler d'attention, mais les mamans méritent qu'on leur montre chaque jour à quel point elles sont précieuses dans notre vie.
Chères mamans, c’est le temps de se lancer des fleurs et de garrocher le pot ailleurs
Pour toutes ces fois où on est passé en second, pour avoir manger notre spaghetti froid, pour avoir donné la meilleure bouchée du gâteau, la plus grosse pointe de tarte, pour avoir pris le temps de faire du Jello fluo avec des jujubes cachés dedans, pour avoir annulé le rendez-vous chez l'esthéticienne, annulé le trip de fille au profit de torcher une gastro, pour avoir réinventé la nature du brocoli, de l'asperge et du chou de bruxelle, pour en avoir mangé nous-mêmes au profit de l'exemple à donner ou pour avoir simplement dit, faites pas ce que je fais, faites ce que j'dis..
Pour avoir couru sa vie avant qu'il n'atteigne l'escalier ou l'échelle de piscine, pour avoir acheté des pansements de superhéros et de princesse, des bobettes de tortues Ninja, des bottes d'eau avec la face de Dora, pour avoir fait la file devant le père Noël un samedi matin, et passer de longues minutes à regarder les p'tits poussins au centre d'achat, pour un spectacle de deux heures de Pat Patrouille. Pour toutes les fois où on s'est levée la nuit juste pour entendre le silence avant que le p'tit dernier se réveille à 4 h du matin en disant que la nuit était finie, qu'il réveille la plus vieille en rentrant dans sa chambre et pour toutes les fois où on a bu notre café frette après s'être assoupie devant la télé à l'heure où le soleil est même pas encore lever.
Pour chaque fois où on est entré dans leur chambre s'assurer qu'ils étaient bien, qu'on a pris soin de replacer la couette, l'oreiller et le toutou préféré, pour les retours de sortie où on va voir si le bébé est correct avant même de cracher 50 $ à la gardienne, et pour chaque fois où grand-maman l'a gardé à coucher, mais qu'on débarquait chez elle à 8 heures le matin pour le récupérer au lieu de faire la grâce matinée.
Pour la gymnastique d'horaire à configurer, pour les lifts chez des amis quand on vient juste de s'installer devant notre série préférée, pour les capitales, les formules de math et les règles de français qu'on révise au lieu d'aller s'entrainer, pour tous les vidéos de chats qu'on regarde, les dessins qu'on affiche, pour les tounes de Marie-Mai en Karaoké et les chorégraphies de danse dans le salon du sous-sol, pour replacer tous les meubles quand c'est fini pis que les copines sont reparties sans rien ranger. Pour tous les p'tits jus dans la boite qui traînent dans le divan, les bas roulés en boule, les bobettes prises dans les jeans, pour la brosse à dents mouillée sur le comptoir et les cheveux dans le bain. Pour le sac de chips renversé sur les bancs du char, pour le cornet échappé sur le coussin d'une chaise de cuisine, essuyé avec la serviette à main, replacé sur la poignée du poële, pour le parfum à 100 $ utilisé comme chasse odeur, pour le vernis échappé sur le plancher, pour le beau dessin fait avec une roche sur ma porte de char..
Pour toutes les fois où on a remis nos jeans sales, où qu'on n'a pas eu le temps de faire nos cheveux, pour chaque journée de congé où on ne s'est même pas arrêté un peu, pour les trios big mac, les sundaes à 10 $, pour avoir acheté un chat, un chien, un lapin et adopté une petite grenouille dans le pot Masson qui servait de contenant pour la soupe maison. Pour notre chandail préféré qu'elle a pris la fois où elle faisait de la peinture avec ses doigts, pour avoir encadré l'œuvre et mis délicatement le chandail aux poubelles.
Pour avoir fait des p'tits bonhommes avec des cure-dents et des fruits, pour avoir planifié une chasse au trésor, une course à relais, un concours d'habiletés, pour chaque fois où on va magasiner et qu'on revient plein de sacs, mais rien pour nous, pour toutes les fois où on a décidé qu'on était très bien dans nos jeans avec des trous, nos bottes avec des trous, nos deux mitaines avec des trous et notre vieille veste... avec des trous..
Pour les fois où on s'est dit que notre repousse ne paraissait pas trop, que se casser un ongle c'était pas grave, que notre mal de tête allait passer, pour toutes les fois où on s'est assoupie avant le dessert malgré la présence d'invités, pour avoir entendus 22 000 fois la chanson de la reine des neiges et revus 13 000 fois le même film poche, pour avoir déboursé trop d'argent pour voir la suite encore plus poche au cinéma, pour avoir caché un sac de bonbons du magasin de la piasse dans le fond de la sacoche pour sauver un peu d'argent..
Pour toutes les fois où on a dû mettre de l'eau dans notre vin et beaucoup de vin dans notre bouteille d'eau, pour avoir envie de fumer un joint en cachette sans même se sentir coupable, et se rendre compte qu'on n'a rien pour le rouler, pour chaque lendemain de veille qu'on a tenté de garder caché, pour les fois où on est rentré à 3 heures du matin en comptant les heures qu'il nous restait à dormir, pour avoir eu besoin de seulement 3 doigts pour les compter.
Amenez-en des fleurs, pas celles qui se fanent, pas celles achetées en ligne ou en boutique, pas celle qu'on plante en bordure de la terrasse, ou qu'on vole dans les plates bandes de centres d'achats, non non, les vraies fleurs, celles qu'on s'offre à soi de soi, celles qui nourrissent l'estime, celles qui font du bien à l'âme, celles qui font qu'on fini par aimer ces enfants-là malgré tout, qu'on en veut d'autres pis qu'on ne peut pas arriver à imaginer sa vie sans la leur..
Moi, aujourd'hui, je m'offre des fleurs à moi de moi et que quelqu'un s'occupe de m'apporter un daiquiri.
Les histoires non terminées

La vie est un long fleuve qui n'est pas toujours tranquille. À partir de l'instant où nous faisons notre entrée dans le monde des adultes, nous sommes appelés à interagir avec une grande quantité de gens et à développer des relations de toutes sortes. Certaines, de courte durée et non significatives et d'autres, plus importantes, qui dureront des décennies.
La plupart du temps, c'est la vie elle-même qui fait en sorte que nous nous éloignons des gens avec qui ça a plutôt bien connecté. Par exemple, nous déménageons ou changeons de boulot.
Mais il y a aussi toutes ces fois où nous décidons volontairement de prendre du recul par rapport à certaines personnes ou, à l'inverse, devons faire face à l'éventualité que celles-ci ne désirent plus nous voir partager leur espace. Ce genre de situation, habituellement, est un peu plus difficile à vivre.
Les conflits non résolus
Ça restera toujours un mystère le fait que deux personnes qui ont vécu une grande amitié ou un bel amour finissent pas ne plus être capables de se parler. Pire, ne plus être capables de simplement se croiser dans la rue.
Est-il juste de dire que la gravité de la rupture est proportionnelle au degré d'attachement qui s'est développé entre les deux personnes? Plus c'était beau, plus ce sera laid?
C'est possible. Toutefois, la raison pour laquelle le ciel s'est ennuagé est aussi un facteur très important. S'il y a eu un semblant de trahison, la communication vient souvent d'être rompue à jamais.
Mais reste que, bien souvent, les conflits sont parfois créés à partir de petits riens qui finissent par prendre des proportions démesurées. Nous ne pouvons pas nier que nous sommes souvent ferrés pour alimenter le drame. Je suis certaine que nous avons tous un exemple ou deux en tête.
Admettre nos torts, c'est déjà faire un pas dans la bonne direction
Nous avons énormément de difficultés à admettre – même après plusieurs années – que nous avons peut-être eu tort de réagir comme nous l'avons fait. Ce faisant, nous entretenons, de part et d'autre, un ressentiment qui n'aurait probablement pas lieu d'être.
Si nous sommes de ceux ou celles qui collectionnent les histoires qui finissent en queue de poisson, n'est-ce pas là un signe évident qu'il y a un éléphant dans la pièce? Nous pouvons regarder dans toutes les directions pour trouver le coupable, mais les doigts se pointeront probablement tous sur nous.
Une question d'estime de soi
Je pense sincèrement que le jour où nous arriverons à mieux nous aimer, nous n'aurons plus besoin de jeter le blâme sur les autres et de nous camper dans nos raisonnements insensés. Tout comme nous n'aurons plus besoin de terminer nos histoires de façon disgracieuse.
Lorsque nous saurons enfin reconnaître notre valeur (ou travailler pour améliorer celle-ci), nous n'aurons plus besoin de défendre notre identité en essayant d'avoir raison à tout prix ou en nous entêtant à penser que nous sommes toujours dans notre droit d'agir comme nous le faisons.
Pour arriver à traiter les autres avec respect, il faut d'abord et avant tout se respecter soi-même et cela fait souvent partie du cheminement qui nous conduit à l'amour de soi.
9 traditions et règles d'étiquette du mariage royal à découvrir
Le grand jour approche à grands pas pour le prince Harry et Meghan Markle et cela nous a fait penser à toutes les somptueuses et particulières traditions de mariage royal britannique que nous pourrions (ou pourrions ne pas) voir le 19 mai.
Bien sûr, vous pouvez être conscient que les invités de mariage féminins portent des chapeaux de fantaisie pour la cérémonie (une coutume britannique pas uniquement réservée à la famille royale). Qui pourrait oublier le couvre-chef audacieux que portait la princesse Béatrice de York au mariage du duc et de la duchesse de Cambridge? Il y a probablement toutefois quelques traditions dont vous n'avez jamais entendu parler auparavant. Ci-dessous, nous explorons certaines des moins connues.
1. La mariée porte une branche de myrte dans son bouquet.

Cette tradition remonte au 19e siècle, lorsque la grand-mère du prince Albert a donné à la reine Victoria du myrte - un symbole de bonne fortune dans l'amour et le mariage - que Victoria a ensuite planté dans son jardin à Osborne House sur l'île de Wight. Elle a coupé une branche de cette plante quand sa fille aînée, la princesse Victoria, s'est mariée en 1858. Depuis ce temps, la reine Elizabeth II, la princesse Diana et Kate ont tous porté un bouquet de myrte provenant du jardin de Victoria. Le même buisson prospère toujours.
«Nous en prenons très bien soin», a déclaré un porte-parole de Osborne House à People.
2. La bande de mariage est faite d'or gallois.

En 1923, la reine mère (alors Elizabeth Bowes Lyon) a choisi l'or gallois pour sa bague de mariage quand elle a épousé le roi George VI. Selon The Telegraph, la pépite d'or utilisée pour l'anneau, qui provenait de la mine de Clogau St. David's au nord du Pays de Galles, était un cadeau à la famille royale et a ensuite servi à fabriquer des bagues pour d'autres mariées, y compris reine, la princesse Margaret et Diana. Ce morceau d'or a depuis été presque épuisé. Ainsi, en 2011, Kate a reçu un anneau composé d'une autre pépite de la collection d'or galloise de la famille royale.
3. Les jeunes mariés servent un gâteau aux fruits à la réception.

Le gâteau aux fruits a été la sucrerie de mariage de choix pour la famille royale britannique depuis un certain temps maintenant. Tout le monde, de Victoria et Albert à Charles et Diana à Prince Andrew et Sarah Ferguson à Will et Kate, l'ont servi à leurs noces.
«Le gâteau aux fruits était à l'origine un symbole de richesse et de prospérité en raison de ses ingrédients précieux tels que les fruits secs, l'alcool et les épices», a déclaré le chef pâtissier londonien Chris Dodd à Vogue. «En outre, le gâteau, en quelque sorte, représentait l'immensité de l'empire britannique, en utilisant des ingrédients provenant de coins lointains du globe. Un mariage était, et est à ce jour, un moment de célébration, et en tant que tel, il faut un gâteau pour correspondre à l'occasion.»
Le prince Harry et Meghan Markle, cependant, opteront pour quelque chose de différent. En mars, le palais de Kensington a annoncé que le couple avait choisi un gâteau au citron et à la fleur de sureau avec du glaçage à la crème au beurre par le chef Claire Ptak de la boulangerie Violet de Londres. Il est possible qu'ils aient aussi un petit gâteau de marié, comme William l'a fait à son mariage.
4. Et après le mariage, les invités reçoivent une part du gâteau de mariage par la poste.
En raison de ses ingrédients (par exemple l'alcool et les fruits et les noix déjà séchés et conservés), le gâteau aux fruits prend beaucoup, beaucoup plus de temps à se gâter que les autres desserts. Ainsi, il est devenu habituel pour les jeunes mariés royaux d'envoyer à leurs invités une part du gâteau par courrier avec une note de remerciement. Parce que le prince Harry et Meghan Markle ne servent pas de gâteau aux fruits, il est peu probable qu'ils envoient leur gâteau par la poste - mais le temps nous le dira.
5. La mariée laisse son bouquet au tombeau du guerrier inconnu à l'intérieur de l'abbaye de Westminster.

Cette tradition a commencé en 1923 avec la reine mère afin d'honorer son défunt frère, le capitaine Fergus Bowes-Lyon, qui a été tué pendant la Première Guerre mondiale.
Depuis, d'autres épouses royales - même celles qui ne se sont pas mariées à l'abbaye de Westminster - envoient le bouquet de la mariée sur la tombe en leur nom.
6. Les membres de la famille royale doivent recevoir la permission formelle de la reine pour se marier.

Selon la Loi sur la succession à la Couronne adoptée en 2013, les six premiers membres de la famille royale en ligne au trône doivent avoir le consentement de la reine pour se marier pour qu'ils (et leurs descendants) puissent être admissibles à la couronne britannique. La naissance de Will et de son troisième enfant, Louis, en avril, a poussé le prince Harry à la sixième place. Le prince Andrew, la princesse Béatrice et la princesse Eugénie - respectivement au septième, huitième et neuvième rang pour le trône - n'auraient pas besoin de la bénédiction de la reine pour se marier.
Le 14 mars, deux mois avant le mariage du Prince Harry et de Meghan Markle, la reine donna sa bénédiction formelle pour les noces dans une lettre officielle qui disait: «Je déclare mon consentement à un contrat de mariage entre mon très cher petit-fils le Prince Henry Charles Albert David du Pays de Galles et Rachel Meghan Markle.»
7. Le marié porte des vêtements militaires pour la cérémonie.

Albert fut le premier membre royal britannique à porter un uniforme militaire le jour de son mariage en 1840. La reine, son mari, Philip, ses fils Charles, Edward et Andrew, et ses petits-fils William et Harry ont tous servi dans l'armée. Charles et William portaient des vêtements militaires le jour de leur mariage. Certains spéculent sur le fait qu'Harry fera la même chose, bien qu'il soit possible qu'il porte des vêtements de soirée - un manteau, un gilet et un pantalon rayé - à la place.
«La façon dont cela est différent, c'est que [Harry] n'est pas dans la ligne directe de la succession», a déclaré Alastair Bruce, expert royal et officier d'armes, à Town & Country. «Il est un membre de la famille royale. C'est un mariage de famille qui se déroule non pas en public, mais dans le château, ce qui est beaucoup moins visuel.»
S'il porte des vêtements militaires pour la cérémonie, Harry en changera probablement après, comme son frère William l'a fait lors de son mariage en 2011.
8. La famille royale pose pour un portrait de mariage formel.

La tradition veut que les futurs mariés posent pour un portrait officiel du grand jour avec leur famille immédiate et les participants de la noce.
Le photographe Alexi Lubomirski, qui a photographié les photos de fiançailles de Harry et Meghan, a été nommé photographe officiel pour leur mariage.
9. Après la cérémonie, il n'y a généralement pas une, mais deux réceptions.
La cérémonie commence généralement vers midi et est suivie d'un «petit déjeuner» ou d'un déjeuner de mariage, plus tôt dans la journée et d'une réception plus intime le soir.
Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l'anglais.
Les célébrités se préparent pour le gala Artis
L'un des galas les plus glamour du Québec a lieu ce soir, alors les célébrités québécoises ne niaisent pas avec la préparation. Masque hydratant, coiffure, maquillage, essayage, petite sieste et retouches... Découvrez leur routine pré-gala.
La coanimatrice de la soirée, Maripier Morin, a entamé sa mise en beauté en début d'après-midi


L'animatrice Saskia Thuot hésitait hier entre deux robes
Son choix s'est porté sur ce modèle qui lui sied à merveille.
Sophie Cadieux a décidé de faire une petite sieste pré-gala
L'actrice Laetitia Isambert-Denis est prête!
L'actrice Mara Joly a toute une coiffure!
Une petite partie de golf pour Daniel Melançon, le copain d'Anouk Meunier
Chantal Machabée en beauté
Charles Lafortune qui hésitait: avec ou sans papillon...?!
Voyez en attendant le début de la soirée toutes les photos du tapis rouge de l'année dernière :
Comment prendre soin de votre jean?
Stéphanie Boulay libère ses foufounes sur Instagram avec un message pour vous

Stéphanie Boulay a partagé une photo de ses fesses sur Instagram, esthétique le cliché et explicite!
Derrière (sans jeu de mots) ce partage, le désir de faire passer un message.
Voici le texte qui accompagne la photo du jour:
« C'est l'été et je nous souhaite d'aimer notre corps et l'âme qu'il contient ainsi que de dévoiler l'un et/ou l'autre à la mesure de nos désirs. 💚💜💛❤️»
Aimez votre corps sera le mot d'ordre !
Gala Artis 2018: toutes les photos du tapis rouge glamour
Dimanche 13 mai au soir, 33e Gala Artis, le tapis rouge du gala québécois le plus glamour de l'année a tenu ses promesses de chic et d'élégance sous une température estivale. Une édition animée par Maripier Morin et Jean-Philippe Dion.
Nos stars préférées du petit écran nous en ont mis plein la vue à l'exemple d'Anouk Meunier dans cette robe jaune spectaculaire, de Maripier Morin ou encore Charlotte Cardin qui a opté pour le pantalon noir et chemise blanche.
Voyez toutes les photos du tapis rouge dans la galerie ci-dessous.
Gala Artis 2018: Vanessa Pilon et Alex Nevsky fabuleusement flyés!
Vanessa Pilon enceinte de 31 semaines accompagnée d'Alex Nevsky était tout simplement magnifique, ils l'étaient tous les deux d'ailleurs!
Robe dorée longue pour elle, bandeau assorti dans les cheveux et talons hauts d'une nuance mauve (parfaite!). Ensemble rouge pour ALex Nevsky agrémenté d'anges et de roses. Le couple était tout simplement magnifique.
De profil comme de face, le couple est magnifique. Vanessa Pilon soutient son ventre arrondi de 31 semaines de grossesse.
La future maman affichait pour l'occasion une nouvelle coupe de cheveux rallongée aux épaules et brune.
Voyez toutes les photos du tapis rouge dans la galerie ci-dessous.
Les 11 plus sexy du gala Artis
Il faisait beau, il faisait chaud sur le tapis rouge du Gala Artis dimanche soir, mais c'était quasi caniculaire quand les célébrités se sont mises à défiler. Des décolletés plongeants, des fentes vertigineuses sur la jambe ou juste du sex-appeal, voici les onze stars qui nous ont fait de l'effet.
Anouk Meunier
Robe Naomi Isted
Gala ArtisMylène Saint-Sauveur
Robe C/MEO Collective
Gala ArtisAnnie-Soleil Proteau
Gala ArtisSarah Dagenais Hakim
Sac à main Zara
Gala ArtisVanessa Pilon
Robe Xavier Laruelle sur mesure
Gala ArtisHélène Bourgeois-Leclerc
Robe Éditions de robes
Gala ArtisMélanie Pilon
Gala ArtisValérie Taillefer
Gala ArtisLaurence Latreille
JfGalipeau.caSarah-Maude Beauchesne (au centre)
Veston et short Frank et Oak
JfGalipeau.caEmilie Fournier
(Avec Olivier Primeau)
JfGalipeau.ca
VOIR AUSSI :
Gala Artis 2018: un tapis rouge coloré et éclaté !
Pas de tendances particulières sur ce tapis rouge, mais des looks colorés et éclatés. Voici les tenues qui ont fait rimer cette soirée Artis avec printemps et couleurs.
Le jaune éclatant de la robe d'Anouk Meunier
Le vert émeraude de Ludivine Reding
Du vert profond encore pour Hélène Bourgeois Leclerc
Le rouge tirant sur le bourgogne de Guylaine Tremblay
Le rose de Katherine Levac
Voyez toutes les photos du tapis rouge dans la galerie ci-dessous.
Gala Artis 2018: les tenues préférées de la rédaction
Si c'est toujours une partie de plaisir, il n'est pourtant pas facile de dresser un palmarès des plus belles tenues... Voici les looks préférés de la rédaction pour ce 33e Gala Artis.
Le coup de coeur de Jean-François Vandeuren, chef de pupitre Divertissement
« Mylène St-Sauveur parfaite dans cette robe blanche à la fois sage, romantique et sexy. Simple et chic!»
Robe : C/MEO Collective
La robe coup de coeur de Philippe Lépine, journaliste Bien-être
«J'adore le charme vintage de la robe de Sarah Jeanne Labrosse. Elle est modeste, mais a tout de même de la gueule. J'aime les lignes verticales, les manches longues bouffantes et le noeud à la taille. Son look beauté complète l'ensemble à merveille. Simplement belle. »
La tenue coup de coeur de Beatrice Roy-Brunet, journaliste au pupitre
« Katherine Levac est très élégante dans sa tenue complètement rose. La couleur lui va à ravir. La simplicité gagne toujours!»
Robe : Maje
La tenue coup de coeur d'Étienne Brière, journaliste vidéo
« Fidèle à son habitude, Ludivine crève l'écran avec sa magnifique robe verte qui vient s'agencer parfaitement à ses yeux. Ce soir, elle brise bien des coeurs, dont le mien! »
Robe : Marie Saint Pierre
La tenue coup de coeur d'Elsa Vecchi, directrice Bien-être
« Coup de chapeau à Vanessa Pilon qui ose une tenue à la fois sexy mariée à des talons très hauts, alors qu'elle est enceinte de 31 semaines! Une petite performance pour la future maman qui inaugurait aussi une nouvelle coupe de cheveux - qui lui sied à merveille.»
Robe : Xavier Laruelle sur mesure
Pour voir toutes les photos du tapis rouge dans la galerie ci-dessous